Comme je l'ai déjà dit, je n'emploie plus le terme de zoophilie pour décrire un acte malsain et vicieux où il n'est pas question d'amour mais de cruauté, de zoosadisme au sens premier, qui met souvent la vie des animaux en danger. Il est important que ce terme soit un jour changé comme je m'en suis déjà expliquée.
Je transmets le message reçu de Frédéric Freund, Directeur de l'OABA http://www.oaba.fr/
Dans un arrêt du 4 Septembre 2007, la chambre criminelle de la Cour de Cassation s'est pour la première fois prononcée sur les conditions de la mise en oeuvre de cette infraction de zoophilie.
La Cour de Cassation a, en l'espèce, rejeté le pourvoi formé pa rle prévenu contre l'arrêt de la Cour d'Appel qui l'avait condamné à un an d'emprisonnement avec sursis et interdiction définitive de détenir un animal. ELle énonce pour ce faire que "les actes de pénétration sexuelle commis par une personne sur un animal constituent (bien) des sévices de nature sexuelle au sens de l'article précité".
Il n'est donc pas nécessaire pour que le délit soit constaté que l'acte sexuel doit accompagné de violence, brutalité ou mauvais traitements."
Frédéric FREUND
Voici quelques mots du Président de l'OABA, le Docteur Jean-Pierre KIEFFER
"Le 17 avril 1961, Jacqueline Gilardoni fondait cette première association de protection des animaux que l’homme destine à sa consommation. A cette époque peu se souciaient du sort des animaux dans les fermes et dans les abattoirs. A présent, le consommateur a évolué, il est devenu exigeant sur la sécurité des aliments qu’il consomme, sur le respect de l’environnement et sur le bien-être des animaux. "
http://www.oaba.fr/
Assister, défendre, protéger tous les animaux destinés à la consommation aux divers stades de leur existence : élevage, transport, abattage