Merci à Hélène pour ce commentaire... combien d'accord avec elle !
"" Lectrice de Montherlant très tôt et de quelques autres “trélôn” de la chose taurine, il m'a souvent semblé que ces gens-là reportent (transfèrent) sur l'animal de fécondité, leurs manques virils physiques ou psychologiques. Un écrivain qui se rend aux arènes d'Arles ( damnatio nominis) a perdu son impulsion créatrice et espère des figures et du sang versé le chatouillage des Muses, or, hélas il n'arrive pas à la sandale d'Homène ni d'aucun des Homérides.
Le mouvement civilisationnel qui s'émeut pour des atteintes mineures devrait, par des lois appuyées sur l'Etat et la société civile, interdire ces sacrifices cruels pour l'animal et archaïsants pour la psyché humaine."
Hélène RICHIER ( Delphes Grèce)