1 décembre 2009
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Même si cet article date de 2005 sur un blog qui n'est plus mis à jour depuis, il reste d'actualité malgré qu'il ait évidemment besoin d'être... actualisé. Un courrier à votre député vous est proposé sur le site de la FLAC comme sur de nombreux autres sites de protection des taureaux.
Le lien mis sur la page de anti-corrida.skyrock.com est celui de
http://www.allianceanticorrida.fr/
Lire l'intégralité de l'article sur : http://anti-corrida.skyrock.com/2.html
Extrait de http://anti-corrida.skyrock.com/2.html :
Le lien mis sur la page de anti-corrida.skyrock.com est celui de
http://www.allianceanticorrida.fr/
Lire l'intégralité de l'article sur : http://anti-corrida.skyrock.com/2.html
Les finances de la corrida : un puit sans fond pour l'argent public !
Extrait de http://anti-corrida.skyrock.com/2.html :
Contribuables, vous financez tous la torture tauromachique ! C'est le message que nous tentons de faire passer auprès de nos concitoyens pour les réveiller et les faire réagir. Mais les finances de la tauromachie sont pour le moins opaques !De manière traditionnelle, le paiement des différents acteurs (éleveurs, imprésarios, picadors ou toréros et éventuellement journalistes taurins...) se fait en liquide. Nous n'accusons pas sans preuves. Dans l'émission « Al descubierto », diffusée le 5 juin 2002 sur TVE 3, télévision nationale espagnole, on apprend par Alfonso Navalon, éleveur de taureaux et chroniqueur taurin qu'il est tout à fait habituel pour un imprésario ou un toréro de payer les journalistes taurins pour avoir une bonne critique... Pour Luc Jalabert, directeur des arènes d'Arles, il faut compter 200 000 euros pour une corrida moyenne (45 000 euros pour chaque torero, et 9100 euros par taureau - « Le Point », 2 août 2002). Pour El Juli, matador à la mode, le cachet peut atteindre 150 000 euros par corrida ! D'après Erik Colmon, directeur de la revue taurine l'Echo du Callejon : « même dans une corrida qui perd de l'argent, il y a des personnes qui arrivent à s'en mettre plein les poches »...
... En 1999, le maire actuel de la ville de Nîmes, première ville taurine française, a reconnu un déficit de près de 2 millions d'euros uniquement pour les spectacles tauromachiques ; des subventions publiques ont comblé le déficit.
Les travaux de différentes structures anti-corrida comme le tout nouveau Anti Bullfighting Committee Belgium mettent en évidence l'existence d'un financement européen de la corrida à travers les subventions agricoles aux bovins mâles et aux vaches allaitantes. La seule subvention aux taureaux dits « de corrida » représente plus de 2 millions d'euros, sans compter le reste du troupeau (taureaux de réforme et bovins femelles). Il est très difficile d'estimer précisément le montant total de ces subventions européennes car les élevages de taureaux destinés aux corridas ne sont pas identifiés comme tels, ce qui arrange beaucoup de monde...
La France entière ne compte pas plus de 5000 amateurs de corridas. Aussi, pour remplir une arène, il faut une feria. Ce genre de fête attire des visiteurs, parfois venus de loin, en leur offrant de nombreux divertissements gratuits, payés par les contribuables : spectacles équestres, concerts de rue, etc... Sans cette immense subvention municipale qu'est la feria, les arènes resteraient vides et les corridas disparaîtraient. En revanche, la feria n'a nul besoin de tauromachie pour prospérer."
... En 1999, le maire actuel de la ville de Nîmes, première ville taurine française, a reconnu un déficit de près de 2 millions d'euros uniquement pour les spectacles tauromachiques ; des subventions publiques ont comblé le déficit.
Les travaux de différentes structures anti-corrida comme le tout nouveau Anti Bullfighting Committee Belgium mettent en évidence l'existence d'un financement européen de la corrida à travers les subventions agricoles aux bovins mâles et aux vaches allaitantes. La seule subvention aux taureaux dits « de corrida » représente plus de 2 millions d'euros, sans compter le reste du troupeau (taureaux de réforme et bovins femelles). Il est très difficile d'estimer précisément le montant total de ces subventions européennes car les élevages de taureaux destinés aux corridas ne sont pas identifiés comme tels, ce qui arrange beaucoup de monde...
La France entière ne compte pas plus de 5000 amateurs de corridas. Aussi, pour remplir une arène, il faut une feria. Ce genre de fête attire des visiteurs, parfois venus de loin, en leur offrant de nombreux divertissements gratuits, payés par les contribuables : spectacles équestres, concerts de rue, etc... Sans cette immense subvention municipale qu'est la feria, les arènes resteraient vides et les corridas disparaîtraient. En revanche, la feria n'a nul besoin de tauromachie pour prospérer."