6 février 2010
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12:58
Un Envoyé spécial au service de la mode qui en conclusion selon les réalisateurs de ce documentaire " a eu le dernier mot" sur les défenseurs d'animaux... Inutile de dire que le documentaire s'est largement étalé sur les arguments fallacieux des producteurs et vendeurs de fourrures, sur les qualités des peaux, sur la non souffrance des animaux. Une acheteuse a osé dire que les animaux n'étaient pas tués pour leur fourrure, on se demande bien par quelle opération du St Esprit elles sont fournies ! Heureusement il y en a encore qui croient à la génération spontanée ! Quand on lui a dit que bien sûr les animaux y perdent la vie, cela ne l'a pas empêchée de finaliser son achat, elle est repartie avec sa fourrure dans le sac, animaux morts ou pas. Une pitoyable séquence montrant une manifestation anti-fourrure avec 10 membres de PETA, mais à l'inverse des sondages 10 manifestants ne représentent pas la France...
Le pire a sans doute été les arguments du Diable et de ses modes : la fourrure présente deux gros avantages, c'est naturel et c'est biodégradable. Ben voyons ! Nous aussi, petits animaux humains, notre peau c'est du naturel et du biodégradable !
Cela justifie-t-il que nous soyons mis en cage, gazés ou ébouillantés pour être pelés ? Sans doute est-ce pour cela que les nazis aimaient bien en faire des abats-jour !
Le pire a sans doute été les arguments du Diable et de ses modes : la fourrure présente deux gros avantages, c'est naturel et c'est biodégradable. Ben voyons ! Nous aussi, petits animaux humains, notre peau c'est du naturel et du biodégradable !
Cela justifie-t-il que nous soyons mis en cage, gazés ou ébouillantés pour être pelés ? Sans doute est-ce pour cela que les nazis aimaient bien en faire des abats-jour !