Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
27 décembre 2009 7 27 /12 /décembre /2009 06:46
reçu de Michèle :


Ecoutez  bien ce que Abdelwahab Meddeb homme admirable  et courageux a dit hier au sujet de la fête  ensanglantée de l'AÏd  :http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/matins/ ( vers 13 minutes 13) et lisez ensuite le compte rendu de ce qui s'est passé hier et se passera encore aujourd'hui dans notre pays, une fois de plus dans l'indifférence des instances politiques et des citoyens.
Devons nous continuer à croire en la moindre volonté politique de faire reculer les tortures infligées aux animaux ? Je le dis au pluriel , car aux égorgements s'ajoute TOUT le reste..la vivisection, la fourrure, les abattoirs et élevages laïcs, le cirque, corrida, zoo ,chasse ,gavage, éradication de toute vie  animale qui dérange et la cruauté ordinaire .
Il n'y a que NOTRE volonté de nous mobiliser et d'agir qui pourra peut être faire bouger les choses. Allons nous continuer à demander gentiment, poliment à ceux qui ont les pouvoirs de bien vouloir avoir la "grandeur d 'âme"de faire cesser les tortures infligées à cet autre qu'est l'animal  ? La condition animale est pire que jamais, alors va t-on continuer à attendre quoi que ce soit de ceux qui ne voient en l'animal qu' un objet lucratif ??
Oui, je suis en colère, et n'ai qu'un immense et définitif mépris envers ceux qui laissent commettre ces atrocités au nom d'un Dieu qui pour ceux qui croient en lui , n'a jamais demandé "ça", et au nom de cet autre Dieu qui est le FRIC !


Amitiés
Michèle,
Aux dernières nouvelles, 20Mn le journal en ligne  propose que d’un clic on vous  réserve un mouton …
http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40217

ABATTAGE RITUEL
 A l’occasion de l’Aïd al Adha la Fondation Brigitte Bardot dénonce la barbarie de l’abattage rituel et la désinvolture des autorités face à la souffrance des bêtes et aux infractions constatées.
27 nov. 2009
 

 200 000 moutons égorgés en toute conscience en 48h

A l’occasion du premier jour de l’Aïd al Adha (ou Aïd-el-Kebir), la Fondation Brigitte Bardot dénonce  l’immobilisme de l’Etat qui s’oppose à rendre obligatoire l’étourdissement des animaux avant un abattage rituel comme l’impose, depuis 1974, la réglementation européenne pour tout autre type d’abattage. Cette allégeance faite à un rite entraîne de très nombreuses dérives.

En 48h, 200 000 moutons seront abattus pour l’Aïd al Adha, dont plus de 70 000 illégalement selon le Ministère de l’Agriculture. D’ores et déjà, de nombreux témoignages attestent de l’augmentation du nombre d’abattages clandestins.

 

M. Sarkozy ne respecte pas ses engagements !

Interrogé par la Fondation sur la question lorsqu’il était Ministre de l’intérieur,  puis Président de la République, M Sarkozy avait promis « de trancher » si aucune décision significative rapide n’était prise. Pour l’heure, aucun engagement concret de l’Elysée n’est parvenu à la Fondation Brigitte Bardot mais de simples nouvelles promesses.

 

La Fondation Brigitte Bardot présente sur des sites d’abattage

Ce matin, la Fondation Brigitte Bardot était, comme chaque année, présente sur des sites d’abattage.

D’après Christophe Marie, Directeur du Bureau de Protection Animale à la Fondation : « la situation est bien plus préoccupante aujourd’hui qu’elle ne l’était l’année dernière encore. Les appels se multiplient pour nous informer de sites clandestins où des moutons sont immobilisés dans des baraques de chantier, les pattes ligotées avec des cordes… » .

A Dreux (28), de nombreuses infractions ont été relevées dans le site d’abattage temporaire visité ; les animaux étaient mis sur le dos, les uns derrière les autres, sur un restrainer* qui conduit l’animal jusqu’au sacrificateur (et non à un piège de contention comme l’impose la réglementation) qui tranche la gorge du mouton et le suspend simultanément. « C’est très grave car à défaut de piège de contention, l’immobilisation obligatoire de l’animal durant la saignée n’est pas respectée et j’ai pu constater plusieurs bêtes suspendues, la gorge tranchée, alors qu’elles étaient manifestement encore conscientes. Une bête, dans un dernier effort, a relevé sa tête pendant une dizaine de secondes avant de mourir dans son sang. Chaque bête est laissée agonisante, la tête dans une flaque de sang, c’est indigne, profondément cruel mais se pratique dans l’indifférence coupable des agents vétérinaires présents ».

Partager cet article
Repost0
23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 12:45
La semaine dernière, j'ai pu prendre deux heures pour aller promener deux loulous,  ma dernière petite rescapée à peine remise d'un long traitement et le "chevalier blanc" de cette jolie pépétte à 4 pattes, Rex.

Nous avons fait la connaissance d'une dame charmante qui promenait ses 3 lévriers, nous nous sommes assises tout naturellement sur un banc pour discuter pendant que les 5 loustics faisaient connaissance. Marie-Rose est une ancienne inspectrice déléguée de la SPA. Elle m'a raconté l'histoire de Bandit, l'adorable whiwhi devenu après des mois de "quête", le compagnon de sa levrette italienne et de son chéri, Topaze le grand whiwhi.

Bandit sortait de l'horrible élevage de l'Escarène, qui n'a rien à envier à Montflanquin, sinon qu'un whippet n'a pas du tout la même résistance qu'un galgo ou qu'un podenco. Beaucoup de lévriers n'ont pas résisté... Comme tous ses compagnons d'infortune, il a été extrait de là traumatisé pour atterrir dans un refuge où Marie-Rose l'a remarqué. Quand elle a demandé pourquoi il était laissé  seul tandis que les autres étaient dans un box deux par deux, il lui était répondu qu'il était destructeur et agressif. Quand elle a exprimé son souhait de l'adopter, longtemps la directrice du refuge a refusé, disant qu'il allait ravager les deux loulous de la famille. A force de tentatives, Marie-Rose a fini par pouvoir adopter Bandit. Les débuts ont été très difficiles, Topaze était un dominant et Bandit aussi. Marie-Rose a alors décidé de faire appel à une comportementaliste et en accord avec elle le véto a donné un traitement pour calmer les ardeurs de ces deux chipoteurs. Il a fallu du temps mais l'amour et la confiance ont eu raison de ce petit Bandit qui ne croyait plus en la vie. Il est devenu un beau whiwhi gai, sûr de lui, qui va au-devant des promeneurs toute queue battante et fait un bout de chemin avec eux, sans une once d'agressivité envers ses congénères. Il fallait juste lui laisser du temps, l'aimer, le respecter, le soigner aussi. Les vétos, ce n'est pas fait pour des prunes. Quand un animal a un comportement exacerbé,  il peut être aidé, il y a maintenant à la disposition des vétos non seulement des produits allopathiques mais également des produits à base d'extraits naturels de plantes, d'elixirs floraux, des sédatifs doux, des oligo-éléments anti-dépresseurs naturels, etc.

Pourquoi je raconte cela ? Parce que je viens d'apprendre une terrible nouvelle, un jeune lévrier espagnol à qui toutes les changes de s'adapter sereinement à son nouvel environnement n'ont pas été données et qui a fini euthanasié peu de temps après son arrivée. En un mois, un animal ne change pas, il ne devient pas agressif pour le plaisir. Si son comportement change, c'est que la famille ne lui est pas adaptée. Ce triste fait est aussi lié à la pression que subissent les associations, les appels à en sauver toujours plus et plus vite, d'où aussi les annonces sur internet où tout le monde peut venir exprimer ses bons sentiments mais ne révèlera pas forcément ses faiblesses de caractère ou dissimulera habilement  ce qui ne conviendra  jamais à un animal, le manque de patience et la tendance à le taper pour la lui faire fermer !

Il n'y a pas si longtemps, une déléguée d'une asso m'a contactée à propos d'adoptants potentiels. Ils avaient eu un gros coup de coeur pour un "titou" en accueil. Quand on a mis les "défauts" sur la table, soudain le coup de foudre n'a pas résisté... Méfions-nous des coups de coeur enflammés qui peuvent retomber aussitôt qu'ils sont montés. C'est sur de tels coups de coeur que beaucoup d'achats se font, les achats impulsion... qui peuvent aussi être liés à un comportement dû à une terrible fragilité, celle des acheteurs compulsionnels. J'ai envie j'achète, je n'ai plus envie je jette.

Une pensée émue et trop triste à ce petitou parti bien trop tôt, bien trop mal... une pensée pour Bandit aussi, que j'avais failli adopter dans le refuge dont Marie-Rose parlait, Bandit qui a fini par trouver celle qui a eu un coup de coeur, mais a surtout eu la détermination et la sagesse de le faire soigner pour que cessent les galères auxquelles la vie l'avait abonné.




Partager cet article
Repost0
20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 07:35
Reçu de Y. Bon. Merci Y.
je vous envoie un petite annonce, si vous cherchez un boulot utile : missions, possibilité de CDI.

La PMAF recherche un enquêteur
Chargé d'inspecter des élevages et identifier les pratiques bénéfiques ou préjudiciables au bien-être des animaux, l'enquêteur aura également pour mission de surveiller les conditions de transport des animaux. Ce poste est à pourvoir dans un premier temps pour une mission de 4 mois à 6 mois renouvelables avec possibilité de CDI. Base : Metz.


Partager cet article
Repost0
20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 00:09
Sent: Saturday, December 19, 2009 9:54 PM
Subject: la mère des pollutions.

www.ecologie-radicale.org

Gérard CONDORCET           le dimanche  20  décembre 2009

TEL 06 76 99 84 65

              La mère des pollutions.

Les dirigeants de la planète, démocrates d’apparence ou dictateurs rouges ou bruns, émargent tous à la secte des adorateurs du Marché, du profit, de la croissance infinie des intérêts  financiers de leurs commettants.

Cette secte peut bien organiser des « grenelles » de l’environnement, des sommets pour le climat, des conférences pour La biodiversité,elle perdure à nuire en se gardant  d’aller à la racine du mal.

 

Quel est le polluant le plus nocif, le plus délétère pour la N         ature et la santé humaine, les eaux et les sols, les aliments, l’air des villes et celui des champs ?

 

Quel est le polluant le plus répandu partout sur la terre, dans les pays « méchants » et les pays « gentils », selon les modes et conformismes, dans les démocraties d’apparence et les régimes totalitaires ?

 

Quel est ce polluant qui appelle tous les autres ?

Serait-ce le gaz carbonique ou le méthane qui accentuent l’effet de serre, le DDT d’hier et les mille molécules de l’agrochimie d’aujourd’hui, la dioxine ou le benzène, les radio-éléments ou les ondes électro-magnétiques, les goudrons ou les nitrates ?

Non, le premier polluant : c’est la pulsion de lucre, la fièvre de l’argent, la quête du profit qui appellent l’industrialisation, le commerce,  le productivisme agricole, le tourisme grégaire, l’urbanisation galopante, en un mot le « développement infernal ou pseudo-durable ».

 

C’est que l’animal humain est cupide, tout aussi naturellement et pour les mêmes raisons qui poussent les autres animaux  à posséder des territoires et des partenaires reproducteurs.

 

Dénoncer la cupidité en elle-même équivaudrait à se lamenter sur la libido.

Mais, pas plus que la libido ne justifie le viol, l’esprit de lucre qui habite tout humain, des petits voleurs des rues aux grands voleurs des cercles privés du pouvoir et des chasses mondaines, du salarié besogneux et dévoué au commerçant vorace, ne justifie le système politique actuel fondé sur l’exacerbation de cet instinct.

 

Les maîtres du système tentent  de peindre en vertu les tares de l’'espèce, faisant de la fortune indécente, nécessairement mal acquise, une récompense  divine ou la sanction de mérites méconnus.

Grands maîtres de la manipulation mentale, propriétaires des médias qui façonnent l'’esprit du troupeau, ces dirigeants essaient d'’inculquer aux bons enfants dociles que leur luxe, leurs caprices de stars, leurs débauches de pailletttes et de frimes, leur vulgarité qui n’a rien à apprendre des idiots de villages, sont des gratifications normales de leurs talents et de leurs efforts.

 

Or, ce système prévaricateur, de croissance et de développement, génère des empoisonnements de l'’environnement, une marchandisation des animaux, êtres sensibles niés dans leur caractère d’êtres, une exploitation de la Nature, une élimination progressive et inéluctable de la biodiversité et un avilissement de l’homme lui-même rangé parmi les variables économiques.

Car, dans ce système mondialisé, temple du profit, du lucre, de l’'argent indécent, tout est finalement sacrifié au commerce, aux gains immédiats, à la spéculation.

 Que ceux qui furent déçus, en France, par les piètres résultats du « Grenelle », organisé en grand spectacle par les amis du CPNT, qui s’affligent aujourd’hui du vide de la conférence de COPENHAGUE sur le climat, qui espèrent des pouvoirs en place des mesures éclairées et généreuses pour le vivant, se réveillent enfin !

Nous n’avons qu’'une chose à attendre de ceux qui gouvernent avec et pour les ennemis de la terre :

 qu'’ils s’'en aillent !

Le temps de la colère et de la révolte, pour ceux qui demeurent  conscients, est venu.

        Gérard CONDORCET

CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE

Partager cet article
Repost0
1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 05:21
DOSSIER DISPONIBLE SUR

http://www.vegplanete.com





  

Partager cet article
Repost0
28 novembre 2009 6 28 /11 /novembre /2009 06:41
LA JUSTE PLACE DE L'ANIMAL HOMME EST-ELLE UNE CAGE DANS UN ZOO ???
SERAIT-CE UN JUSTE RETOUR DES CHOSES ???

Lu sur :
http://actu.orange.fr/articles/insolite/Une-cage-a-homme-prehistorique-dans-le-jardin-zoologique-de-Varsovie.html 

Le jardin zoologique de Varsovie a inauguré une "cage à homme des cavernes" où l'on peut observer un couple déguisé en humains préhistoriques, pour rappeler que "l'homme est aussi un animal", ont indiqué à l'AFP les auteurs du projet.

 
Photographe : Janek Skarzynski AFP :: Deux volontaires sont enfermés dans une "cage à homme des cavernes" au zoo de Varsovie le 27 novembre 2009.
photo : Janek Skarzynski , http://www.afp.com  


Enfermés dans une ancienne cage à singes, vêtus de peaux d'animaux, un homme et une femme passent leurs journées à s'épouiller mutuellement, à veiller sur le feu et à observer attentivement les gens qui passent devant leur enclos.

Pour jouer ces rôles, la direction a fait appel à des volontaires, une jeune femme de 18 ans et un homme de 24 ans.

"Nos hommes des cavernes sont très calmes et gentils. Ils ne mordent pas. Ils sont anxieux de voir autant d'inconnus passer devant leur habitation", a expliqué à l'AFP Ewa Zbornikowska, vice-directrice du zoo de Varsovie.

"On peut tenter de communiquer avec eux, ou même de leur proposer à manger", a-t-elle ajouté en souriant.

"C'est une façon ludique d'essayer d'inspirer une réflexion sur la place de l'homme dans l'univers", a précisé Mme Zbornikowska.

 

Cet article tombe bien, j'ai  une page en préparation sur l'utilisation abusive des cages préconisées par les associations de galgos et podencos à leurs adoptants... VOUS AVEZ UN PROBLEME, METTEZ-LE EN CAGE !



Partager cet article
Repost0
27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 06:35
CHRISTOPHE DECHAVANNE ET ADECK, SON MEILLEUR AMI
Trouvé sur
http://dossier-people.pourelles.orange.fr/diaporama/stars-et-chiens/christophe-dechavanne-et-adeck.html 
"Jamais sans mon chien !

Dans le monde souvent superficiel des people, il est bon d'avoir un ami fidèle, sur lequel on est sûr de toujours pouvoir compter. C'est pourquoi nos amies les stars, de Christophe Dechavanne à Jennifer Aniston, ont fait de leur chien leur meilleur allié."


Ont-ils enfin compris que la gloire et la fortune n'apportent pas toujours l'amitié et l'amour ?


 

 


Partager cet article
Repost0
19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 19:09
Merci, bel Almera, d'être passé ce soir nous dire ton bonheur... Tu t'es battu pour survivre, nous avons suivi tes pas avant même que  tu sortes de cet élevage qualifié de "capharnaüm indigne" par la cellule anti-trafic de la SPA... Nous avons secoué les gens qui depuis des années s'étaient habitués à cette horrible pensée : mais ce ne sont que des chiens, ils ne sont pas si mal traités que ça, nous DSV ne pouvions rien faire de plus !

Nous t'avons suivi, toi et tes frères et soeurs d'infortune, pendant que tu allais vers ta nouvelle vie, pendant que tu luttais pour ta survie, tout squelettique, sur ta palette de Compiègne dans le froid !
Nous avons suivi tes premiers pas avec ton nouveau Pôpa et ta Môman Fafa sur le forum des lévriers. Puis, enfin rassurés, nous avons laissé voguer la Vie, ta  nouvelle vie, comme Belem,  et tous les autres, sans oublier tous ceux qui sont morts et qui n'ont pas eu notre chance d'être sortis de cet enfer !

Bisous bisous, Bel Almera, accroche-toi et si tu passes par ici viens partager notre palette ! Harmonie te montrera comment ça marche, facile, tu sautes dessus pendant des heures, ça fait sortir les mulots et après on les course ! On ne les attrape jamais, c juste pour nous entraîner, ils sont toujours plus rapides que nous !

Tes soeurs de fortune, Vina et Harmonie qui ne sont pas mal tombées aussi ! Pour rien au monde, toi, nous et les autres on ne retournerait à Montflanquin ! Le club de race peut leur faire toute la pub qu'il veut en ignorant résolument les crève-la-faim qui s'y passaient, nous c'est terminé on n'y remet plus les pattes !


Reçu ce soir de Môman Fafa cette lettre d'Almera !


http://www.levrierslibres.com/article-trois-sauvetages-manques-sur-notre-blog-39513988-comments.html#c

Si vous voulez, vous pouvez voir quelques-unes de mes photos sur cette petite vidéo. Admirez ce beau toutou que je suis devenu :

http://www.youtube.com/watch?v=YLbe4obhoeo


Bonjour,
vous vous souvenez de moi ??
je suis Almera, le podenco adopté cet été.....

je viens vous donner de mes nouvelles car je sais que beaucoup ont suivi mon parcours :
alors je vais bien !!

je suis dans une bonne famille et j'ai 4 autres copains.  Moi qui étais soit disant non compatible aux autres animaux et bien, je me régale de grandes parties de jeu, de folles courses au jardin avec mes copains.

En plus, ici, j'ai un gros coussin pour moi tout seul mais, je le partage souvent avec la p'tite Pereta.....elle me fait plein de bisous

Et puis, le soir, je regarde la télé à côté de mon papa...sur le canapé et il me gratte la tête :  j'adore ça.....

Souvent, maman m'emmène en balade mais, j'ai trop de force pour elle et je l'entraine et ça lui fait mal aux bras.....j'arrive pas encore a marcher sagement à ses côtés. Aussi, c'est toujours mon papa qui me tient et qui essaye de me faire comprendre comment bien marcher mais, j'suis trop fou-fou et je tiens pas longtemps bien sage

Et, dimanche prochain, nous allons courir sur une belle plage de l'océan atlantique....hum, j'en rêve déjà.
Bin, j'connais pas encore la plage et, il parait que c'est super et qu'on peut courir et faire les fous......
Mais, j'sais pas si je serai lâché et si je pourrais courir car,  mon papa a peur que je m'éloigne trop de lui alors, il me tient bien en laisse avec la longe...

mais, ça fait rien, je verrais quand même l'eau et le sable et, je profiterai du grand air et....du pique-nique  

Alors, pour résumer ma nouvelle vie, je dirai que je suis désormais un chien heureux, que j'adore ma nouvelle maison à la campagne, que j'aime bien courir après les oiseaux qui viennent me taquiner au jardin, que j'adore faire la course avec ma copine Yoness ( elle est trop forte).....

Voilà mes nouvelles et merci à vous tous d'avoir cru en mon bel avenir,  merci à Unanima d'avoir diffusé afin que mes parents puissent me trouver et venir me chercher....

HOURRA pour la belle vie....
ps : je vous aurais bien mis une photo de moi mais  je sais pas faire !!
Et pour tout vous dire, ma Môman à moi, elle est béné...
et béné d'asso c'est pas un boulot de tout repos !
Faut pas toucher à nos photos !
Je vous serre la pince !
Almera

http://www.levrierslibres.com/article-trois-sauvetages-manques-sur-notre-blog-39513988-comments.html#c



 



Partager cet article
Repost0
15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 09:40
ANIMAL ET ETIQUE, la vision du président d'Ecologie Radicale - Association Convention Vie Nature

Ceci pose une question bien  légitime : quand on voit le nombre croissant d'animaux torturés dans notre pays comme partout en Europe et dans le Monde, quand on voit que des spectacles où l'animal est traité de manière atroce comme dans la corrida sont justifiés par un simple concept dans l'organisation des pays européens : celui de "souveraineté nationale"... la  torture avant l'éthique... où va l'Europe ? Il aurait été utile, avant de penser Ecologie, de penser Vie.
En cela, ces réflexions offertes par le président de C.V.N., grand humaniste, ami de Théodore Monod sont à méditer...

Merci à Monsieur le Juge Charollois d'avoir signé la charte UNANIMUS. C'est un grand honneur pour Marie-Hélène et moi.
 

De : Gérard CHAROLLOIS <charollois.gerard@free.fr>
Date : 8 novembre 2009 09:17

www.ecologie-radicale.org

tel  06 76 99 84 65            


L’espèce humaine qui croît et se multiplie sans frein et en toute bonne conscience, s’avère infernale pour l’animal et toxique pour la Nature, dénommée aussi biodiversité.

 

Par commodité, par habitudes ancestrales, par cupidité et paresse intellectuelle et morale, par sadisme, l’homme contemporain ne parvient guère à s’émanciper de la conception absurde de l’animal machine, l’animal chose, l’animal marchandise, l’animal défouloir des pulsions de mort.

 

Le Droit, sous-produit de la morale et de l’état des connaissances d’une société, reconnaît timidement le caractère sensible de l’animal soit dans des lois, comme en France le 10 juillet 1976, soit dans des constitutions et des traités internationaux.

Néanmoins, le droit positif français perdure à considérer l’animal comme un bien meuble, un objet fut-il mobile par lui-même.

Le principe étant posé du caractère sensible des animaux, les législateurs s’empressent d’assortir les normes juridiques d’innombrables dérogations aboutissant à nier le principe.

Ainsi, en France, si les actes de cruauté sont prohibés sous peine de sanctions correctionnelles, les « courses de taureaux et combats de coqs » sont admis dans les localités pâtissant d’une tradition non encore interrompue.

L’animal de compagnie ou tenu captif est sauvegardé en tant qu’être sensible, mais l’animal sauvage subit les  tirs, les piégeages, les enfumages de terriers, comme si un renard souffrait moins qu’un chien.

Le moindre groupuscule de pressions de l’arriération morale obtient d’un législateur docile et méprisant pour le peuple, des dérogations nagationnistes du caractère sensible de l’animal.

Le principe n’est affirmé que pour rendre l’hommage du vice à la vertu.

 

 

En apparence, la condition animale s’améliore.

Nombre de contemporains, frustrés de nature et de vie sauvage, partagent leurs logements avec chiens ou chats, tissant avec ces compagnons des liens affectifs  de grande qualité.

Notre époque ne supporterait plus les mauvais traitements qu’infligeaient naguère les cochers aux chevaux dans les rues des villes, mauvais traitements qui heurtant la sensibilité publique amenèrent les premières lois de protection des animaux (loi GRAMONT 1850).

Mais, inversement, l’élevage industriel, cupide et âpre à l’instar de la société marchande, réduit l’animal à une réification absolue.

Des groupes de pressions interdisent toute évolution des législations concrètes, soit au nom des traditions, soit au nom du profit.

Ce monde demeure un enfer pour les animaux, révélateurs par leurs martyrs de deux grandes tares de l’animal humain : la cupidité et le sadisme.

La cupidité explique l’élevage concentrationaire où volailles, porcs et bovins subissent des conditions de vie immondes. C’est ici la course au profit, à la production maximisée qui se révèle dans toute son horreur.

 

Le sadisme explique les loisirs et jeux dans lesquels les animaux servent de victimes expiatoires, tels la chasse et la tauromachie.

 

 

Nul ne peut ignorer cependant l’unité profonde du vivant.

Les similitudes anatomo-physiologiques observables dès les siècles passés se trouvent confortées par les analyses génétiques contemporaines .

 

Penser que l’humain est d’essence différente des autres formes de vies relèvent de l’obscurantisme, de la déraison, du mythe, d’un ridicule orgueil.

 

L’humain n’est que l’animal doté des meilleures capacités cognitives, au même titre que d’autres espèces s’illustrent par leurs performances à la course, au vol, à la nage, au sens de l’orientation.

Existent, pour tout paramètre de performance physique ou psychique, des différences de degrés pas de nature.

Fonder la supériorité ontologique de l’humain sur les autres espèces sur ses capacités reviendrait à générer des discriminations entre les humains eux-mêmes en fonction desdites capacités fort disparates.

 

Dès lors que l’enfant en bas-âge, le vieillard sénile, le débile profond ne possèdent  pas ces capacités qui font le propre de l’homme, faut-il leur dénier tout droit, toute dignité ?

 

Faute d’un critère tenant aux aptitudes, il pourrait être répliqué qu’un humain demeure un humain quel que soit son état mental.

La dignité tiendrait alors à l’appartenance à une espèce.

Dans ce cas, pourquoi ne pas fonder des discriminations sur la race, le sexe ou tout autre facteur de classification ?

En éthique, le spécisme n’a pas davantage de fondement que le racisme.

Il n’est qu’un préjugé sans assise.

 

Tout animal perçoit la souffrance comme le bien-être au moyen d’un système nerveux présentant dans ses localisations et ses modes de fonctionnements neuronaux de grandes similitudes.

 

Comment, dès lors, accepter que ces êtres sensibles, tellement semblables, soient réduits au rang des marchandises, simples produits de l’industrie de la viande ou soient soumis à la torture pour faire jouir des foules malsaines au nom de pseudo-traditions qui, si elles en étaient, justifieraient par ce seul fait d’être abolies, puisque la civilisation n’existe quepar le jeu de l’abandon des traditions.

 

L’homme utilise l’animal pour accroître ses connaissances  via les expérimentations multipliées à l’infini et génératrices de souffrances atroces, le réduit à de simples produits dans les élevages concentrationnaires et le confond avec un jouet à la chasse, mort-loisir ou à la corrida, mort-spectacle.

 

Le chasseur et le tortionnaire de taureaux n’éprouveraient pas la même jouissance sans l’effroi, la peur, la douleur qu’ils occasionnent, sans  le sang qui ruisselle.

 

Poursuivre un leurre à la chasse à courre, affronter une machine d’acier ne leur occasionneraient aucun plaisir puisque le plaisir réside dans la souffrance et la mort provoquées à une victime vivante, sensible, acculée.

 

Il n’y a rien là que des évidences que nul ne peut réfuter.

 

Les lobbies et les tastes mort préfèrent dès lors fuir le débat, discréditer ceux qui osent parler haut, fort et clair.

Les défenseurs des animaux sont dépeints par les médias abreuvés de propagande contre nature, en marginaux, associaux, souvent terroristes.

« Ils en  font trop pour les bêtes et pas assez pour les hommes malheureux eux aussi ». « Telle espèce prolifère et menace le bien public. Les pigeons propagent des maladies, ainsi que le renard, vecteur de rage et d’échinococcose ».

Grossiers mensonges qui ne cachent qu’une rage : celle de tuer.

Les pigeons ne propagent pas de maladies et l’échinococcose tue infiniment moins d’humains que la chasse

 

Piètre propagande, car la chasse loisir, la corrida, l’élevage concentrationnaire ne soulagent en rien les misères humaines.

Oui, la Nature menace gravement l’homme mais de nos jours, uniquement par sa mort provoquée.

Oui, les animaux non-humains menacent l’homme mais uniquement en ce qu’ils lui servent d’entraînements à l’instinct de violence. Celui qui apprend à égorger la bête, égorgera sans frémir  son ennemi du jour et celui qui joue de l’arme à feu contre la faune en usera aisément contre autrui. Culturellement, il y a des façons de tuer que des sociétés humaines appliquent tant aux animaux qu’à leurs adversaires humains. Ce ne sont  point des « arts de vivre » mais des arts de tuer, des accoutumances au meurtre.

 

 

L’agressivité des lobbies contre Nature à l’encontre des écologistes protecteurs des animaux répond à une évolution fondamentale de la protection animale.

Depuis le milieu du 19ème siècle, cette protection, bénéficiant surtout  aux chevaux, aux chiens et  chats, s’apparentait à une charité apitoyée, à des œuvres de bienfaisances dont les diverses SPA furent les actrices.

 

Désormais, la pensée philosophique et politique s’empare du sujet.

Les divers Fronts de Libération animale par le monde ne mendient plus la charité pour les autres espèces mais en appellent à la justice.

Naguère, en protégeant l’animal de compagnie, le législateur préservait davantage la sensibilité humaine face aux actes de cruauté, que l’animal lui-même.

La contestation contemporaine des actes de cruautés et de maltraitances se fait au nom de l’éthique et va à la racine des maux que l’humain, en cours d’hominisation, inflige au vivant.

 

Des écoles de pensées multiples proposent

 Une rupture avec un anthropocentrisme absurde, l’espèce humaine n’étant en rien figée et étant appelée à subir, comme toutes les formes de vies, une évolution inéluctable.

 

La compassion, à l’instar de son antipode, le mépris de la vie, ne se divisent pas.

 

Le plus fondamental défi éthique du temps gît dans ce combat pour un changement radical du rapport de l’humain avec l’être sensible non humain et avec la Nature.

Les lobbies pourront-ils longtemps encore escamoter le débat sous l’invective et les accusations farfelues.

 

L’opinion publique prend conscience, trop lentement sans doute mais inexorablement, de l’ampleur du crime que l’espèce commet à l’encontre du vivant.

La chape de silence, l’altération des données du débat n’opéreront pas toujours et il apparaîtra aussi évident aux humains de demain qu’il fallait abolir la chasse, la corrida, les actes de cruauté et de mépris envers l’animal, comme apparut hier l’injustice de l’esclavage.

Spécisme, racisme, sexisme obéissent à la même perversion de l’intelligence, à savoir, la négation de l’autre.

 

Faut-il reconnaître des droits à l’animal non humain ?

 

 

L’animal non-humain ne revendique aucun autre  droit que celui de vivre dans le respect de ses exigences physiologiques.

La supériorité cognitive de l’homme lui confère en revanche un devoir envers les autres formes de vies.

Puisque l’humain est devenu omniprésent sur la planète et omnipotent par sa technique, il doit se muer en protecteur bienveillant, empathique, attentif à respecter le vivant qui lui est désormais confié.

Ce devoir éthique implique une modification des relations des êtres entre eux, au sein de l’espèce humaine.

Malgré les belles intentions affichées par l’ensemble des idéologies d’antan, l’homme fut au cours de son histoire bien pire qu’un loup pour l’homme, car cette comparaison serait insultante pour les loups. Il fut le plus grand tueur d’hommes et aujourd’hui encore, le plus exploiteur de ses semblables.

C’est que les vieilles idéologies préconisaient la concurrence, la compétition, la domination, la conquête, au lieu de promouvoir la solidarité, la générosité, le souci d’autrui.

En cela, la révolution écologiste est prometteuse pour l’homme d’une société moins cruelle, moins âpre, une société où la qualité de la vie prévaut sur l’accaparement et la dilapidation de tout.

 

Ces vieilles idéologies théocentristes et anthropocentristes plaçèrent longtemps la planète terre au centre de l’univers et l’homme au centre du grand tout.

Or, il n’y a pas de centre, ni la terre, ni l’humain n’intéressent l’univers.

La seule certitude est que la vie existe ici et maintenant et qu’elle vaut bien la peine d’être défendue, aimée, protégée tant dans sa diversité que dans les individus qui la composent.

 

Il n’y a pas d’opposition entre l’humain et le non-humain mais un besoin de réconciliation et d’élargissement du cercle de l’empathie.

Cet élargissement n’est jamais que la constante de la civilisation.

Il y eut la famille, le clan, la tribu, la cité, la nation, la race, puis l’humanité entière. Le temps est venu d’intégrer la biosphère dans le champ de l’empathie et de la reconnaissance.

Tel est le sens de notre combat d’idées et de valeurs.

 

          Gérard  CHAROLLOIS

CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE




--
http://www.antichasse.com/
« Il vient une heure où protester ne suffit plus, Après la philosophie il faut l’action, la vive force achève ce que l’idée a ébauché"

Victor Hugo
http://www.actuanimaux.com/
 
Partager cet article
Repost0
15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 08:50
Appel de Gérard Charollois, président Ecologie Radicale - C.V.N.

Subject:
CVN: appel aux militants.

www.ecologie-radicale.org

 

CVN :   Gérard   CHAROLLOIS

 

FRANCBAUDIE

 

24380  VEYRINES DE VERGT

 

TEL 06 76 99 84 65

 

Courriel :
charollois.gerard@free.fr

 

Aux militants d’écologie fondamentale,

 

Chers  amis  de  combat  pour le  vivant,

 

Parce que l’écologie est une idée neuve, porteuse d’espoirs et de perspectives multiples, elle suscite des courants et des engagements fort divers.

 

Les idées neuves des siècles passés connurent ces explorations intellectuelles, ces tâtonnements doctrinaux, ces quêtes d’une société différente.

 

Avec le temps et les expériences, avec les échecs mais aussi leurs succès indéniables, ces pensées novatrices se construisirent dans les débats et affrontements
que vous retrouverez en lisant l’Histoire des LUMIERES, des combats pour la Liberté, pour les socialismes.

 

L’écologie est adolescente et ne nous étonnons pas d’y trouver du catastrophisme, des peurs irrationnelles, de la générosité encore anthropocentrique, de
l’environnementalisme curateur du système de la dévastation de la Nature.

 

Pour notre part, à la CVN, nous luttons pour la défense du vivant, la grande réconciliation de l’homme avec la faune, la flore et les milieux naturels,
pour un monde où la concurrence, la compétition, la domination brutale céderont le pas à l’empathie, à la solidarité, au congédiement de la violence et
de l’instinct de mort.

 

Vous retrouverez exposées ces valeurs nouvelles dans notre charte et notre manifeste.

 

Il en résulte que nous ne sommes pas spécialisés dans le combat  d’une seule cause.

 

Nous recherchons une cohérence dans la pensée et l’action.

 

Certes, des lobbies avilissant l’Etat et la société, tel celui de la chasse, agressent la CVN, parce que nous posons les vraies questions.

 

Mais, ce serait une erreur d’imaginer que l’opposition à la chasse ou à la tauromachie, ou à l’élevage concentrationnaire, ou aux OGM, ou aux  autoroutes,
ou aux bétonnages, constituent nos uniques préoccupations.

 

Notre unique préoccupation est plus globale : mettre le vivant au centre des valeurs, avant l’argent, avant les mythes, avant les instincts de destruction
des hommes non encore hominisés.

 

Or, nous sommes tombés, depuis une trentaine d’années, dans une société atomisée (consumériste hédoniste), soigneusement cultivée par les maitres du système
qui y voient un excellent moyen de contrôler le troupeau.

 

Les maîtres du système veulent que l’Histoire s’arrête avec leur règne perpétuel.

 

La CVN résiste.

 

Ne soyez pas des consommateurs avachis, des adeptes du « sauve-qui-peut », des individus isolés donc soumis et impuissants face au système.

 

Soyez des militants actifs, résolus, unis dans un combat pour changer ce qui demeure inacceptable, à l’instar de ce que firent d’autres femmes et hommes
de mieux avant nous.

 

La CVN n’est pas un outil aux mains de votre président, d’un bureau, d’un comité.

 

C’est votre outil de combat contre toutes les formes de cruauté, d’arriération, de négation de la valeur du vivant.

 

Comment agir ?

 

En diffusant nos idées et en vous exprimant librement.

 

En constituant dans votre région une section CVN.

 

En communiquant à notre site Internet, via notre vice-président, Jean-Claude HUBERT, des informations sur ce qui advient, près de chez  vous, et que vous
relate la presse.

 

jc.hubert@wanadoo.fr

 

En participant aux actions des diverses associations spécialisées qui poursuivent, dans les domaines restreints de leurs statuts, des buts rejoignant les
nôtres.

 

Nous montrerons ainsi aux anesthésistes de la conscience, aux censeurs de la pensée que l’Histoire ne s’est pas arrêtée et que d’autres conquêtes nous appellent.

 

Merci de nous rejoindre, non seulement par une adhésion, mais plus encore dans l’action.

 

           Gérard   CHAROLLOIS

 

CONVENTION  VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE

 

CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE.

 

Bulletin  d’adhésion

 

L'homme omnipotent est désormais pleinement responsable de la diversité
biologique. Ce pouvoir lui confère le devoir de se réconcilier avec ses
semblables, avec les êtres vivants et avec la nature.

 

Il faut  combattre le productivisme, les mythes du développement ou de la croissance infinie,
la pollution des éléments, l'exploitation effrénée des ressources, des
hommes ou des pays, la violence envers les animaux.

 

La pensée écologiste est la seule qui se fixe ces objectifs.

 

La CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE entend diffuser
les idées nécessaires à cette révolution de nos sociétés.

 

Je déclare adhérer à la CONVENTION VIE ET NATURE POUR UNE ECOLOGIE RADICALE :

 

Prénom :

 

Nom :

 

Adresse postale :

 

Adresse mail :

 

Téléphone :

 

Cotisation de base annuelle :  20 euros

 

Précaires et étudiants :            10 euros

 

Fait à

 

Le

 

Signature :

 

A retourner à :

 

Josy MARTIN, 40 rue BOURDIGNON, Bat C1 94110 SAINT-MAUR.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Unanimus, une Âme, un Choeur pour les Animaux
  • : Contre l'invasion des monstres à face humaine. Violence = enfant en danger.
  • Contact

Profil

  • Unanima
  • Nada ! rien de particulier... 
 juste raz le bol des atrocités et de la lâcheté ! Basta !
 L'indifférence s'appelle complicité.
  • Nada ! rien de particulier... juste raz le bol des atrocités et de la lâcheté ! Basta ! L'indifférence s'appelle complicité.

Recherche Mot/Thème

Archives