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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 12:52

Sylvie Lemignon est éducatrice canine et comportementaliste dirige l'Institut Cynophile à Gratentour. www.institutcynophile.fr  Elle nous donne les 10 commandements du propriétaire de chien.

1. Pas d'achat coup de cœur : bien se documenter sur la race et ses caractéristiques.. la « petite peluche » peut devenir rapidement encombrante. Penser à aller visiter la SPA, pour qui souhaite un chien adulte, et qui veut éviter l'apprentissage de la propreté.

2. Bien définir la race qui sera la plus en adéquation avec mon style de vie : suis-je casanier ? Sportif ? En appartement : suis-je prêt à sortir minimum 3 fois par jour pendant 30 mn ? (Pour les molosses, un jardin reste indispensable).

3. Pas d'achat avant la 8e semaine de vie du chiot, la socialisation avec ses congénères (meute) est primordiale. À privilégier l'achat chez un éleveur qui sera 1 spécialiste de la race en question

4. À l'arrivée à la maison, je me dois d'offrir un espace de vie suffisant à mon chien. Je lui interdis le lit et le canapé.

5. Il mange à part et ne reçoit rien de mon repas.

6. Il dispose d'un espace de couchage, dans lequel personne ne va l'embêter.

7. Je suis très prudent (tous types de chien) avec les enfants. Même un chien habitué aux enfants peut être surpris par l'attitude d'un autre et avoir un comportement d'agression.

8. Comme je suis le « chef de meute », ce n'est pas le chien qui vient réclamer des caresses, c'est moi qui l'appelle pour le « câlin » et autres. Ce qui évitera un jour qu'il grogne quand vous voudrez le caresser.

9. Je dois lui assurer alimentation en adéquation avec le type de chien, visite vétérinaire et assurances si nécessaire.

10. Si je suis détenteur d'un chien catégorie 1 ou 2, je déclare mon chien en mairie, je le tiens en laisse muselé et je respecte la loi en cours.

De nouvelles dispositions concernant les "molosses" ont été prises, j'y reviendrai. Un permis a été instauré, il doit être fait avant la fin de l'année, j'y reviendrai.

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1 janvier 2009 4 01 /01 /janvier /2009 15:06

Pour toutes et tous, visiteurs d'ici et d'ailleurs, à poils, plumes, écailles, pattes, ailes, jambes et autres, merci pour votre fidélité tout au long de l'année et pour votre amour des animaux. Puisse en 2009 la conscience humaine progresser collectivement et se tourner résolument vers la Paix et le respect du Vivant !


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18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 08:32
reçu de Michèle Scharapan
Un article de Florence Burgat sur le blog liberation.fr à méditer avant de se gaver de foiesz stéatosés :

Foie gras : le père Noël est une ordure

Par Florence Burgat

Noël et le 1er de l’an ne sont-ils pas d’abord synonymes de «bonne chère», en particulier du sacro-saint foie gras sans lequel, semble-t-il, la fête serait triste ? La France est le premier producteur (76%) et le premier consommateur (68%) de foie gras. Le Parlement a jugé bon d’ériger le foie gras en «patrimoine culturel et gastronomique protégé en France» (Art. L. 645-27-1 du code rural), encourageant ainsi une demande déposée auprès de l’Unesco pour obtenir qu’elle classe la gastronomie française dans le «patrimoine immatériel de l’humanité» !

Comment choisir un bon foie gras ? Telle est la préoccupation qui balaye actuellement toutes les autres et occupe tous les esprits : silence, on mange du foie gras ! L’affaire est sérieuse, car c’est à cela que l’on juge votre capacité à «jouir des plaisirs de la vie», à «savoir ce qui est bon». Mais pour en jouir tranquillement, mieux vaut ne pas en savoir trop long sur le processus qui transforme le foie malade en ce «mets délicieux», et plus généralement les animaux en viande.

Cette matière semble étrangère à l’individualité : la logique de la série prend le pas sur celle du propre, aucune biographie ne précède ce devenir-viande des animaux, de sorte que nous n’avons aucun imaginaire de ceux dont la chair équarrie nous est donnée à manger : du poulet, du veau, du porc… Nés pour cela, leur identité est celle de la chair à l’étal. N’en faisons pas une histoire, à tous les sens du terme. L’habitude de voir ces pièces plus ou moins informes est entrée dans la banalité de notre paysage. Aucune violence ne se dégage de l'artifice des morceaux «dont la forme, l'aspect nous sont depuis longtemps assez familiers pour avoir acquis, à nos yeux, une autonomie, une réalité indépendante de l'ensemble dans lesquels ils étaient inclus. (...). La boucherie est un lieu d'innocence». (Pierre Gascar, Les Bouchers).


Comment voir ce que l’on ne voit plus, ce à propos de quoi aucun étonnement, aucune question, aucune inquiétude ne surviennent ? Comment troubler le calme de la viande ? Certains étals le devraient pourtant, si l’on voulait bien les voir. Volaille, lapins, «gibier» ne sont-ils pas présentés de la manière la moins abstraite qui soit ? Oiseaux entiers, parfois partiellement plumés, lapins écorchés mais jamais décapités, carcasses ouvertes, exhibant dans une pornographie trop évidente, le plus intime du corps. Faisans, lièvres, biches… alignés à l’état de cadavres non encore «préparés» par la main experte, flattant ainsi le goût de la traque (il s’agit en réalité d’animaux d’élevage et d’un abattage par balle pratiqué dans un enclos).

Intégralité de l'article :
http://philosophie.blogs.liberation.fr/noudelmann/2008/12/le-pre-nol-est.html#more

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18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 04:52

Amina Tharwat Abaza, présidente fondatrice de SPARE EGYPTETrès heureuse d'apprendre qu'Amina que j'avais filmée en Egypte en 2005 vient d'être nommée première ambassadrice du droit des animaux en Egypte par la Société Internationale du Droit des Animaux. Les Français n'ont pas voulu bouger pour l'aider... heureusement sa détermination est plus forte que ses désillusions
F
élicitations, Amina. Tu es une grande Dame de la protection animale !
Les vidéos sont visibles sur http://www.dailymotion.com/video/x4kqmi_spareegyptetourismeanimauxaminaabaz_animals

Pour contacter Amina et aider les animaux égyptiens :
Amina Tharwat Abaza, S.P.A.R.E Fondatrice et présidente

spare@menanet.net
amina@sparelives.org
http://www.sparelives.org 
Lien vers l''article ci-dessous :
http://hebdo.ahram.org.eg/arab/ahram/2008/11/26/visa0.htm#haut



Visages

Au-delà de sa mission auprès des animaux, Amina Abaza veut imposer l’estime de l’autre en général. Sa détermination est récompensée : elle vient d’être désignée « première ambassadrice égyptienne des droits des animaux » par la Société internationale de protection des animaux.  

Le respect d’abord  

«on n’a pas un cœur pour les hommes et un cœur pour les animaux, on a un cœur ou on n’en a pas ». C’est la rengaine d’Amina Abaza qu’elle répète à toutes les interviews de presse. Le 4 octobre dernier, c’est-à-dire lors de la Journée mondiale des animaux, elle vient d’être désignée « première ambassadrice égyptienne pour les droits des animaux », par la Société internationale de protection des animaux, basée en Angleterre. Un titre qui précède un autre, datant du 28 septembre, celui de l’association allemande de la protection des animaux Hans-Rönn-Stiftung.

Née au Caire et éduquée par un père qui lui a inculqué l’amour et le respect des valeurs morales telles l’honnêteté, la modestie et l’intégrité, Amina Abaza n’est que la fille du romancier Sarwat Abaza. Ce dernier est en fait l’auteur du fameux film sur le despotisme, Chie min al-khof (la peur), lequel critiquait implicitement l’époque nassérienne. « Mon père n’était pas un homme riche. C’était un homme simple du gouvernorat de Charqiya qui, sa vie durant, a vendu pas mal de terres, mais jamais son stylo. Sous Nasser, il n’a pas écrit un seul article faisant l’éloge du régime, au moment où l’on égorgeait les gens et on les jetait en prison », affirme Amina Abaza. Et d’ajouter : « Mon père écrivait uniquement ce qu’il ressentait. Un jour, je lui ai raconté que j’avais vu comment les patients étaient maltraités dans les hôpitaux. Je lui avais alors demandé d’écrire quelque chose sur eux. Il m’a répondu : Même toi, tu n’as pas le droit de me dire ce que je dois écrire », se souvient-elle.

Tel père, telle fille. Amina Abaza a hérité de cet esprit d’indépendance d’un père qui ne craignait rien et ne cessait de critiquer ceux qui faisaient fortune rapidement et de façon malhonnête.

Quand il s’agit de revendiquer des droits humains, la fille aussi se montre d’un franc-parler hors pair. « Pourquoi ne pas défendre ses droits tant qu’on n’est pas fautif ? Chapeau à Noha Rouchdi, la jeune fille qui a récemment intenté le premier procès pour harcèlement sexuel. Elle a brisé un tabou ». Et d’ajouter : « Je n’aime pas le citoyen passif. Pourquoi se taire alors qu’on a des moyens à déployer ? ».

Amina Abaza a été élevée dans un entourage hétérogène, regroupant des étrangers, et multi-religieux avec des chrétiens, musulmans et juifs ... « Des gens de tous bords étaient invités par mon grand-père, un poète qui tenait chez lui un salon littéraire dans le quartier de Zamalek. J’étais chanceuse de voir et d’entendre tous ces intellectuels dont entre autres Tewfiq Al-Hakim, Naguib Mahfouz, Taha Hussein, Abdel-Rahmane Al-Charqawi. Chacun d’eux avait sa manière de voir les choses et ses principes ».

Très tolérante, acceptant la différence, elle précise : « L’autre n’est pas un fantôme. Pourquoi émigrer en Occident, s’y installer pour travailler ou bénéficier d’un traitement médical et en même temps le détester ? Pourquoi juger les gens selon les apparences, les religions et les couleurs ? Je déplore toute sorte de discrimination. Notre société actuelle est dans un état atroce, qui ne s’intéresse qu’aux apparences et à l’argent ». Une société qui diffère complètement de celle où elle a vécu son enfance.

Ancienne élève des religieuses du Sacré-Cœur, ces dernières lui ont appris énormément. « Ce sont les religieuses catholiques qui m’ont inculqué cet esprit de solidarité et de charité. Je me rappelle qu’une fois par mois, avec mes camarades, nous sortions acheter des provisions pour les distribuer à des familles pauvres », déclare Amina Abaza, pour qui être francophone d’Egypte n’est pas seulement se vouer à affronter l’américanisme, mais aussi pouvoir vivre cette culture à l’aise dans une société devenue très conservatrice.

Un conflit qu’elle vit quotidiennement. Directrice de la section de traduction au sein de la Chaîne satellite égyptienne, Amina Abaza refuse le regard que pose la société sur tout ce qui provient de l’étranger, multipliant les tabous. « Dans mon travail, j’essaie de donner une image vraie de ce que nous sommes, en traduisant des films, feuilletons et programmes égyptiens vers le français. Je joue le rôle d’intermédiaire, comprenant les deux mentalités ». Dans sa relation avec ses collègues, elle refuse cet esprit borné sur tout ce qui est différent, au niveau religieux comme culturel.

Elle se remémore alors toute la génération des francophones de sa jeunesse. « C’était toujours dans une ambiance familiale très chaleureuse que nous célébrions les fêtes chrétiennes. Bien que la maison de ma grand-mère soit mise sous surveillance. Elle n’avait pas beaucoup d’argent, mais invitait toute la famille à fêter Noël », se souvient Amina, qui comme sa grand-mère n’a jamais honte de déclarer ses crises financières. Tout le monde peut passer par des moments de difficulté, c’est normal.

Une manière idéale de voir les choses, qui peut paraître en contradiction avec le tas d’objets hétéroclites et d’antiquités décorant somptueusement son domicile à Zamalek. Elle se défend : « Vous croyez que ces objets antiques sont chers ? Pas du tout. Mon mari est un collectionneur. Il parcourt presque toutes les ventes aux enchères et se rend dans le quartier d’Al-Attarine, à Alexandrie, pour dénicher ces objets dont quelques-uns sont hérités de ses parents ».

Un goût très raffiné, sans aucun doute. Son mari, l’homme d’affaires Raouf Méchreqi, est une personnalité accueillante, aux traits nobles. « Mon mari a vécu une autre Egypte, celle du bon vieux temps des années 1950 et 60. Il trouve une grande difficulté à s’adapter à notre époque. Car le pays ressemble plutôt à une monarchie du Golfe, à une société bédouine », regrette Amina. Et d’ajouter : « Mon mari est comme sous le choc. J’essaie de le soutenir moralement ».

Pourtant, Amina elle-même affronte le même état d’esprit. Elle s’y est peut-être habituée depuis ses études à la faculté de lettres, section française. « C’est à l’Université du Caire que j’ai beaucoup appris. C’était une ambiance différente de la charité chrétienne qu’on nous inculquait à l’école. Mes souvenirs à l’université ne sont pas si merveilleux. C’était le moment de mon éveil face à un nouveau monde, plus méchant et hypocrite », affirme strictement Amina Abaza.

Grâce à son mari, partageant nombre de ses idées, elle a pu fonder une association pour la protection des animaux. « Je me sentais mal en voyant un animal blessé, tué cruellement ou maltraité. Je déteste l’injustice. Mon mari m’a dit qu’au lieu de pleurer ces animaux, il fallait agir. Au début, j’avais honte qu’on se moque de moi ou que l’on critique cette banalité ».

Privée d’enfants, Amina Abaza a versé tout son amour sur ces êtres faibles, sans affection ni attention. C’est en 2001 qu’Amina Abaza s’est engagée dans ce projet, avec la création de son association caritative reconnue par le ministère égyptien des Affaires sociales. Cette association est la plus ancienne du genre en Egypte et au Moyen-Orient. Ses locaux se trouvent dans un immeuble modeste, situé dans une ruelle de Chabramant (aux alentours du Caire). Une équipe de vétérinaires et d’agents y travaillent. « Jusqu’à l’année passée, tous étaient bénévoles. Cette année, ce n’est plus le cas. Car les cas d’animaux blessés ou torturés ont augmenté. C’est pourquoi j’ai dû augmenter le nombre de vétérinaires. Je ne fais pas payer les pauvres paysans, mais ce n’est pas le cas des gens aisés. Je n’hésiterais pas à vendre mes bijoux pour financer l’association. Car l’Etat n’accorde pas un sou à la protection des animaux ».

La fondatrice ne peut pas obliger les gens à aimer les animaux, mais elle leur demande simplement de ne pas les maltraiter. « Ce sont de faibles créatures qui ressentent la faim, la soif, la peur, la douleur, sans pouvoir l’exprimer. Elles sont chassées, torturées, piégées, électrocutées pour leur fourrure, maltraitées dans les abattoirs, exploitées dans les cirques, enfermées dans les zoos, abandonnées et méprisées ».

Même si elle a souvent encouragé d’autres associations à œuvrer dans le même domaine, Abaza est toujours critiquée. « Je me rappelle que dans l’une des émissions télévisées, on m’a d’abord remerciée de défendre les droits des animaux, mais on n’a pas tardé à me le reprocher. Que faites-vous des droits des enfants de Palestine ? me répète-t-on ». En toute assurance, elle répond : « Pourquoi on me critique et me traite de criminelle ? Pourquoi mêler les droits de l’animal aux droits des enfants de Palestine ? ».

Malgré tout, elle a réussi quelques exploits : fêter en Egypte la Journée internationale de l’animal. Aider à la restauration du Zoo du Caire, dans un état lamentable. Arrêter le commerce des animaux. Parvenir à tourner et photographier les maltraitances cruelles des animaux dans les abattoirs égyptiens.

Amina Abaza ne cesse de recevoir d’autres genres de critiques. Car elle incarne pour d’aucuns l’image de la Brigitte Bardot égyptienne. Elle réfute l’idée y voyant une déconsidération. « Pourquoi cette mission noble doit-elle être considérée comme une simple imitation de l’étranger ? En dépit de mon admiration pour Brigitte Bardot, je ne l’imite pas. Je suis vexée car on pense que je veux attirer l’attention, à la recherche d’une médiatisation ou d’une célébrité quelconque. Le dieu chez les pharaons était symbolisé par un chat, un hibou ou une vache », défend-elle, ajoutant : « Il faut admettre que nous, les Egyptiens, nous ne connaissons pas grand-chose à la culture de la protection des animaux. Nous avons besoin de support et de conseils. Par exemple, en Europe, le vétérinaire est beaucoup plus estimé. En Egypte, il est médiocrement appelé le médecin des animaux. Il nous faudra des années en Egypte pour faire évoluer les mentalités ».

Névine Lameï

 

Jalons

1955 : Naissance au Caire.

1980 : Licence ès lettres, section française, Université du Caire.

1982 : Journaliste au Journal d’Egypte.

1991 : Travaille avec CFI (Chaîne Française Internationale), auprès de la télévision égyptienne.

1992 à 2008 : Directrice de la section de traduction au sein de la Chaîne satellite égyptienne.

2001 : Fondation de la première association égyptienne pour la protection des animaux (SPARE). 

 


 




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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 07:02

Reçu de Marc

http://www.notre-planete.info/


La nouvelle évaluation mondiale des mammifères indique qu’au moins 1141 espèces sur les 5487 mammifères de la planète sont menacées d’extinction. Au moins 76 mammifères se sont éteints depuis l’an 1500. Cependant, les résultats montrent aussi que les efforts de conservation peuvent inverser la situation d’espèces proches de l’extinction : 5 % des mammifères actuellement menacés montrent des signes de rétablissement à l’état sauvage.
« Au cours de notre vie, des centaines d’espèces pourraient disparaître en raison de nos propres actions, ce qui constitue un signe alarmant sur l’état des écosystèmes où elles vivent », indique Julia Marton-Lefèvre, Directrice générale de l’UICN.

«Nous devons établir des objectifs précis pour l’avenir afin d’inverser la tendance et éviter de laisser comme héritage la disparition d’un grand nombre de nos parents les plus proches».

Lire l'intégralité de l'article sur :

La Liste Rouge 2008 de l’UICN révèle la crise d’extinction des mammifères

Les premiers résultats d’une étude de l’UICN révèlent que 35% des oiseaux du monde, 52% des amphibiens et 71% des coraux bâtisseurs de récifs en eaux chaudes risquent d’être particulièrement sensibles au changement climatique.

Lire l'intégralité de l'article sur :
Le changement climatique pousse les espèces vers l’extinction

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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 15:08

Jacquie Lawson e-cards - cartes animalières

 

 

Jacquie Lawson e-cards - Halloween 
Un univers à visiter pour se changer les idées !
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 14:35

Si vous êtes un(e) adepte des méthodes de bien-être alternatives et préventives, ne manquez pas le site de Fabienne aux mains d'argent, réflexologue attentive et sensible. Vous découvrirez la réflexologie plantaire et les bienfaits que vous et vos petits protégés pouvez en retirer.

Le meilleur signe que ça détend : attendez-vous à ronfler pendant une séance ou à voir votre animal s'endormir, parfois même ronfler aussi !


http://www.reflexologie-faby.fr/reflexologie_sur_animaux_064.htm
 

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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 07:20

VOUS ET VOTRE MOBILE
PERSONNES A PREVENIR EN CAS D'URGENCE
 
Les ambulanciers ont  remarqué que très souvent lors d'accidents de la
route, les  blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des interventions, on  ne sait jamais qui contacter dans ces listes interminables de  contacts.                                            

Les ambulanciers ont donc lancé  l'idée que chacun d'entre nous entre dans son répertoire, la personne à  contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme. Le sigle  international connu est « ICE » ( In Case of Emergency, en cas d'urgence).                                                        

C'est sous ce nom qu'il est recommandé d'entrer  le numéro de la personne à contacter, utilisable par les ambulanciers, la  police, les pompiers ou les premiers secours.                                                              

Lorsque plusieurs personnes doivent  être contactées on peut utiliser ICE1, ICE2, ICE3, etc.

C'est facile à faire, cela ne coûte  rien et peut aider beaucoup.

Si vous croyez en l'utilité de cette convention,  faites passer le message afin que cela rentre dans les  mœurs.  
   

VOUS ET VOTRE ANIMAL  

Si vous vivez seul(e) avec des animaux, pensez également à leur devenir s'il vous arrivait quelque chose. Soyez prévoyant(e) pour que leur avenir ne soit pas un enfer ou ne passe pas par la case euthanasie immédiate.              

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2 octobre 2008 4 02 /10 /octobre /2008 05:12

Reçu de Marie.  Quand on pense que la mort chez nous reste tabou et que beaucoup d'entre nous finirons par mourir seul, sans accompagnement, sans regard fraternel, sans espoir, sans guide pour le grand passage, le moment peut-être le plus lucide, le plus mystérieux, le plus fondamental d'une vie !
Sur un groupe de 400, 20 dauphins se sont détachés pour accompagner l'un des leurs blessés... jusqu'à sa mort.


VIDEO:

http://www.liveleak.com/view?i=f02_1222714704     http://www.telegraaf.nl/buitenland/2071060/__Dolfijnen_helpen_stervende_soortgenoot__.html   

ITN -- For the first time, dolphins have been filmed helping each other out at sea.
The dolphins were seen trying to save the life of a member of their pod by holding it near the sea's surface to prevent it from sinking.

Dr Park Kyum Joon from the Cetacean Research Institute, whose scientists spotted the rare event, said the pod was trying to make it easier for the bottlenose to breath.
More..
"The dolphins are trying to return their fellow dolphin to the proper posture and trying to support it so it wouldn't sink," he said. 

It is the first time dolphins have been observed trying to assist one another and also the first time a dolphin dying of natural causes has been caught on camera.

 

 Tokio scientists have for the first time filmed how dolphins help a victim member. The animal was wounded to a fin and floating on its back, and was kept by other dolphins. However, the wounded dolphin died.  A natural dying dolphin had never been fixed on film before.

 

The Japanese research workers saw how 20 dolphins removed themselves from the group, which counted about 400 animals, and offered aid to the dying dolphin.

 

http://www.liveleak.com/view?i=f02_1222714704   
http://www.telegraaf.nl/buitenland/2071060/__Dolfijnen_helpen_stervende_soortgenoot__.html 

Traduction :
Des scientifiques japonais (Tokyo) ontpor la première fois filmé comment les dauphins aident un dauphin en danger. Le cétacé, blessé, flottait sur le dos, soutenu par les autres dauphins, mais il est mort. C'est la première fois qu'on filme un dauphin en train de mourir de mort naturelle.
Pour la première fois, des dauphins ont été filmés en train de s'entraider. Ils ont été vus en train d'essayer de sauver la vie d'un membre de leur groupe en le soutenant près de la surface de la mer pour l'empêcher de couler.
Le Dr. Park Kyum Joon du Cetacean Research Institute, dont les scientifiques ont filmé cet évènement rare, a dit que le groupe essayait de faciliter  sa respiration... "ils essaient de l'amener à la bonne posture et de le soutenir pour qu'il ne coule pas."  C'est la premirèe fois que des dauphins sont observés en train d'assister un des leurs et qu'un dauphin en train de mourir de mort naturelle est filmé.

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2 octobre 2008 4 02 /10 /octobre /2008 04:05
Merci à Johjb qui a posté cette vidéo de Youtube sur Dailymotion. Belle chanson qui nous rappelle l'universalité de la compassion.
Ni os ni sang dans ma cuisine...
Il n'est pas facile à certains de devenir végétarien, mais il n'est pas difficile d'acheter différemment, de refuser de participer aux tueries intensives et atrocement cruelles de nos industries alimentaires dites modernes où les psychopathes règnent en maîtres !


No Bones No Blood inna me kitchen
envoyé par jahjb

Ras Attitude & Jah Sun  - Northwest World Reggae Festival 2007
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