16 novembre 2007
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/2007
12:50
Pétition à signer !
/http://choimimi. com/zboarde/ zboard.php?id=sign
Une expérience vécue par un touriste à Hanoï
"Cinq heures du matin dans la vieille ville d'Hanoï. J'attends dans la nuit et le froid dans une petite rue. D'autres hommes attendent aussi, accroupis devant leurs cuvettes, un lasso, un gourdin, un couteau, des crochets.
Six heures moins le quart, un cyclo-pousse dépose un grand panier d'osier rempli de chiens entassés, plaintifs, vomissant.
Je m'approche alors, décidé, et me lance dans un grand monologue destiné à me décrisper, souriant, l'air étonné, un rien évasif, et déclenche mon premier flash. J'essaie de ne pas trembler. Les premières admonestations surviennent. Je m'y attendais. Il s'ensuit une valse durant laquelle je feins d'ignorer ceux qui m'entourent, cherchant l'ouverture pour cadrer le mieux possible la scène.
La tête du premier chien est extirpée du panier avec le noeud coulant. On lui fouille les côtes à travers le panier, soit pour mieux le soumettre, soit pour lui faire monter l'adrénaline, ce qui serait meilleur pour la viande, puis on le matraque sans grande précision avant de le sortir et de l'égorger sur le bord du trottoir et de recueillir le
sang dans une bassine pour le boudin.
Parfois, je fais semblant de céder aux pressions puis reprends mes clichés. Au final, six chiens sont alignés dans la rue. Le ton monte, mais moi aussi je discute, j'argumente, toujours avec le sourire. De guerre lasse, on m'oublie. Les chiens sont jetés dans de l'eau chaude, puis leurs fourrures enlevées à la main. Ils sont ensuite braisés dans un feu de paille, équarris et découpés.
Le jour s'est levé. J'ai la tête vide, aucune pensée n'arrive à se frayer un chemin. C'est comme une méditation blanche et lunaire. J'ai du mal à réaliser ce que j'ai fait. Je vais au bord du lac et retrouve un peu de chaleur en prenant des clichés d'un vieux qui fait son taï chi matinal.
Deux heures plus tard, je repasse dans la rue qui a retrouvé son aspect journalier, foisonnante de vie, bruissante des rumeurs, des motos, des cyclo-pousses, des femmes qui transportent leurs marchandises sur des balanciers posés à même leurs épaules. Le vieux quartier d'Hanoï est une ville paysanne et artisanale.
On y trouve peu de voitures, c'est encore une gravure du début du siècle. Je passe devant le restaurant de rue où les premiers clients, attablés, assis sur des tabourets, dégustent leurs rôtis de chiens.
Rien à faire, rien à dire..."
UN CHIOT photo:
http://www.reseauli bre.net/rage/ chiengrospea.jpg
Voici des marchands qui vendent de la viande canine. Il font l'abattage sur place à la vue de tous. Ce sont des pratiques courantes, car certains asiatiques sont friands de la viande de chien, mais ce qui attirera surement votre attention sur cette horrible photo, est que l'on voit un chiot à qui on a enlevé la fourrure ( pelé ) et que ce chiot, assis sur ses 4 misérables petites pattes, gémissant et implorant la vie jusqu'à son dernier souffle est toujours vivant ! Ce petit chiot réduit à un "tas de viande vivant" sera cuisiné. Bien souvent, en Asie on jette
des animaux encore vivants dans de grosses marmites d'eau bouillante. On enlève aussi la peau des animaux sans aucun étourdissement préalable, car, selon les croyances ....plus l'animal souffre, plus l'animal est
battu et plus son taux d'adrénaline est élevé ce qui rend, toujours selon les croyances, sa viande meilleure.
PETITION http://choimimi.com/zboarde/zboard.php?id=sign
RIEN A DIRE EN EFFET ! Sinon que notre capacité à la cruauté est sans limite. MAIS SIGNEZ LA PETITION, svp. Merci. VOUS POUVEZ AUSSI BOYCOTTER.
Message envoyé par Barbara LEFRANC
le Bulletin Des Lévriers
http://levriersyveline.site.voila.fr
http://bulletinlevrier.blogspot.com
Pétition en ligne :
http://www.thepetitionsite.com/1/il-faut-sauver-les-galgos
/http://choimimi.
Une expérience vécue par un touriste à Hanoï
"Cinq heures du matin dans la vieille ville d'Hanoï. J'attends dans la nuit et le froid dans une petite rue. D'autres hommes attendent aussi, accroupis devant leurs cuvettes, un lasso, un gourdin, un couteau, des crochets.
Six heures moins le quart, un cyclo-pousse dépose un grand panier d'osier rempli de chiens entassés, plaintifs, vomissant.
Je m'approche alors, décidé, et me lance dans un grand monologue destiné à me décrisper, souriant, l'air étonné, un rien évasif, et déclenche mon premier flash. J'essaie de ne pas trembler. Les premières admonestations surviennent. Je m'y attendais. Il s'ensuit une valse durant laquelle je feins d'ignorer ceux qui m'entourent, cherchant l'ouverture pour cadrer le mieux possible la scène.
La tête du premier chien est extirpée du panier avec le noeud coulant. On lui fouille les côtes à travers le panier, soit pour mieux le soumettre, soit pour lui faire monter l'adrénaline, ce qui serait meilleur pour la viande, puis on le matraque sans grande précision avant de le sortir et de l'égorger sur le bord du trottoir et de recueillir le
sang dans une bassine pour le boudin.
Parfois, je fais semblant de céder aux pressions puis reprends mes clichés. Au final, six chiens sont alignés dans la rue. Le ton monte, mais moi aussi je discute, j'argumente, toujours avec le sourire. De guerre lasse, on m'oublie. Les chiens sont jetés dans de l'eau chaude, puis leurs fourrures enlevées à la main. Ils sont ensuite braisés dans un feu de paille, équarris et découpés.
Le jour s'est levé. J'ai la tête vide, aucune pensée n'arrive à se frayer un chemin. C'est comme une méditation blanche et lunaire. J'ai du mal à réaliser ce que j'ai fait. Je vais au bord du lac et retrouve un peu de chaleur en prenant des clichés d'un vieux qui fait son taï chi matinal.
Deux heures plus tard, je repasse dans la rue qui a retrouvé son aspect journalier, foisonnante de vie, bruissante des rumeurs, des motos, des cyclo-pousses, des femmes qui transportent leurs marchandises sur des balanciers posés à même leurs épaules. Le vieux quartier d'Hanoï est une ville paysanne et artisanale.
On y trouve peu de voitures, c'est encore une gravure du début du siècle. Je passe devant le restaurant de rue où les premiers clients, attablés, assis sur des tabourets, dégustent leurs rôtis de chiens.
Rien à faire, rien à dire..."
UN CHIOT photo:
http://www.reseauli
Voici des marchands qui vendent de la viande canine. Il font l'abattage sur place à la vue de tous. Ce sont des pratiques courantes, car certains asiatiques sont friands de la viande de chien, mais ce qui attirera surement votre attention sur cette horrible photo, est que l'on voit un chiot à qui on a enlevé la fourrure ( pelé ) et que ce chiot, assis sur ses 4 misérables petites pattes, gémissant et implorant la vie jusqu'à son dernier souffle est toujours vivant ! Ce petit chiot réduit à un "tas de viande vivant" sera cuisiné. Bien souvent, en Asie on jette
des animaux encore vivants dans de grosses marmites d'eau bouillante. On enlève aussi la peau des animaux sans aucun étourdissement préalable, car, selon les croyances ....plus l'animal souffre, plus l'animal est
battu et plus son taux d'adrénaline est élevé ce qui rend, toujours selon les croyances, sa viande meilleure.
PETITION http://choimimi.
RIEN A DIRE EN EFFET ! Sinon que notre capacité à la cruauté est sans limite. MAIS SIGNEZ LA PETITION, svp. Merci. VOUS POUVEZ AUSSI BOYCOTTER.
.
Message envoyé par Barbara LEFRANC
le Bulletin Des Lévriers
http://levriersyveline.site.voila.fr
http://bulletinlevrier.blogspot.com
Pétition en ligne :
http://www.thepetitionsite.com/1/il-faut-sauver-les-galgos