Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
21 janvier 2008 1 21 /01 /janvier /2008 07:21

Reçu de Linda, Canada

Canada - USA
Saviez-vous que les SPCA fournissent les labos pour faire ces cruels tests? à lire ce qui suit, c'est à vomir!!! je sais que c'est long mais ça va peux-être ouvrir les yeux de certains ! désolée si je suis directe mais c'est la vérité ce que je vous donne ici.
 
La demande des chercheurs pour les animaux de fourrière est très forte. Un laboratoire paiera entre 40$ et 55$ ( les chiffres sont de 1989 ) pour un chien de fourrière, alors qu'un chien élevé spécifiquement à cette fin coûtera de 250$ à 400$ ( les chiffres sont de 1989 ). La surpopulation d'animaux familiers fait que les chercheurs trouvent là un immence réservoir de cobayes. Les gens laissent leurs bêtes se reproduire, inconscients des conséquences. Les éleveurs de bêtes de race se disent qu'ils répondent à un marché sélectif. Les usines à chiens fonctionnent à plein rendement : pas de problème, il y a un marché pour nos produits. Les animaux ordinaires, eux, sont toujours plus nombreux à être refoulés au bas de l'échelle. C'est là que la recherche s'approvisionne surtout, de même que dans les sulplus d'usine de reproduction. Source: Marcel Duquette ancien inspecteur de la SPCA

En toute légalité plusieurs chiens et chats sont vendus pour la recherche aux États-Unis par différents postes frontaliers québécois.

Archives - Édition du 26 septembre 2006

Quand les citoyens se fâchent et décident de mettre fin à un scandale

Qui se souvient de la fourrière Malo de Saint-Angèle-de-Monnoir? Sa présence en sol angèloirien fut une infamie qui a fait tache à l’histoire et qui remue sans doute encore aujourd’hui de bien pénibles souvenirs. Son activité avait été dénoncée en décembre 1989 par une coalition de citoyens se portant à la défense des droits des animaux. Cette fourrière exerçait le commerce honteux d’animaux soit achetés dans d’autres fourrières du Québec, soit volés chez des particuliers. Ils étaient ensuite vendus à des laboratoires expérimentaux des États-Unis dans des conditions sanitaires cruelles et indignes.

Le Journal parlait d’un commerce florissant - 100 à 150 animaux y transitaient chaque semaine - pour y être exportés aux Etats-Unis.

Un gros camion lettré Bio Medical Associated venait y faire une cueillette deux fois par semaine. Les animaux étaient dirigés vers plusieurs points de vente sur la côte est américaine.

Pourquoi ce commerce en sol québécois et non pas aux États-Unis? C’est que dans le pays de l’oncle Sam, une loi interdit aux laboratoires expérimentaux d’acheter des animaux dans les fourrières et refuges alors qu’au Québec aucune législation n’interdisait ce type de commerce.

Les citoyens en colère ont bien tenté d’obtenir un mandat de perquisition pour pénétrer dans la fourrière et y faire l’inventaire des traitements réservés aux animaux, peine perdue. Ils ont tout de même obtenu d’un inspecteur de la SPCA qu’il oblige le propriétaire à ne plus parquer de chiots dans des barils de plastique laissés à l’extérieur en plein hiver.

Plusieurs chiens sous-alimentés étaient laissés à eux-mêmes dans un enclos à 20 degrés sous zéro.

Une fois rendus dans la grande boîte du camion US, ils n’étaient plus nourris et n’avaient même pas droit à un peu d’eau.

Les exploitants du commerce ont argué qu’ils devaient de toute façon servir à des expériences de laboratoire. Ça s’est passé il n’y a pas si longtemps chez nous. On entend encore parler d’horreurs de ce genre, de ci, de là, de nos jours. Et il y a toujours une zone de gris dans la loi régissant le commerce des animaux vendus par des éleveurs à des animaleries. L’abolition de cruauté envers les animaux (pas plus qu’envers d’autres humains) n’est pas un combat gagné, loin s’en faut!.(JSO)
http://www.hebdos.net/jdc/archives/articles.asp?article_id=144371

Saviez-vous que la province de l'Ontario à promulgué l'Ontario Animal Research Act, obligeant tous les contrôleurs, fourrières municipales et même la SPCA à remettre aux laboratoires des animaux errants dont ils ont besoin pour la recherche!

Les animaux du Québec sont expédiés en Ontario
Les animaux du Québec finissent aussi dans les laboratoires en Ontario, la province de Québec est la seule province à ne pas avoir légiféré sur la protection des animaux, donc les autres provinces du Canada s'approvisionne au Québec pour fournir les animaleries avec l'aide des fournisseurs d'ici, alors les animaux abandonnés de là-bas finissent à la SPCA ou dans les fourrières de l'Ontario et en Ontario, on a le droit de prendre les animaux à la SPCA et dans les fourrières pour la recherche

Problem Provinces

Ontario
The Ontario Animals for Research Act requires pounds to relinquish dogs and cats they have held for more than three days if requisitioned by a registered research facility. This is hardly enough time to find a new home for these animals, or even for someone to find a well-loved, but lost family companion. The Animals for Research Act was created to ensure a cheap source of animals for experimentation, and stipulates that laboratories pay only $6 per dog and $2 per cat. In contrast, a person wanting to adopt one of these animals as a companion could be required to pay up to $150 for a dog and $80 for a cat. At least 10 pounds in Ontario continue to provide animals for experimentation; however, humane societies and shelters affiliated with the Ontario SPCA will not supply animals to laboratories, despite the legislation.

http://www.cruelscience.ca/pound-prov.htm


Quebec
Although pounds and animal shelters in Quebec are under no obligation to surrender dogs and cats to research labs, that hasn’t stopped Quebec from becoming the largest unregulated supplier of pound-source animals for research in Canada. Animal Alliance has begun an aggressive campaign, urging the Quebec government to implement an emergency moratorium on the sale of lost and homeless dogs and cats for research purposes in order to provide immediate protection for the companion animals of Quebec citizens.
Lettre adressée au gouvernement du Québec et aux membres de l’Assemblée nationale du Québec
http://www.cruelscience.ca/DATA/Quebec_fr.pdf

http://www.cruelscience.ca/pound-prov.htm
Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Unanimus, une Âme, un Choeur pour les Animaux
  • : Contre l'invasion des monstres à face humaine. Violence = enfant en danger.
  • Contact

Profil

  • Unanima
  • Nada ! rien de particulier... 
 juste raz le bol des atrocités et de la lâcheté ! Basta !
 L'indifférence s'appelle complicité.
  • Nada ! rien de particulier... juste raz le bol des atrocités et de la lâcheté ! Basta ! L'indifférence s'appelle complicité.

Recherche Mot/Thème

Archives