Douce France, les mairies de nos enfances...

AUX MAIRES DES VILLES PRATIQUANT LE ZOOSADISME DE LA CORRIDA

Vous pouvez intervenir auprès des municipalités, députés, des ministères concernés par email. Lettre type que vous pouvez personnaliser. Signez les pétitions que les associations de défense animale font circuler. Merci. Voir adresses députés France et Europe sur http://www.unanimus.fr  et http://www.galgos.fr 

Liste des municipalités pratiquant la corrida avec leur email
http://unanimus.over-blog.com/article-13342010.html

Vous pouvez pour toute info et action supplémentaire contacter olga.france@wanadoo.fr

Courrier aux maires
Monsieur, Madame,

Concerne le zoosadisme légalisé de la corrida

Je veux par le présent courrier réagir fermement contre la barbarie de l'homme qui pratique la corrida et fait la promotion de ce spectacle cruel, contre le fait que des enfants de tout âge assistent à ces activités malsaines, également contre les écoles de corrida pour les enfants. Comment en plein 21ème siècle, dans l'Europe où les consciences s'éveillent aux problèmes graves que connaît notre planète et à la disparition des espèces, à la violence enfantine à laquelle nous sommes tous confrontés et celle même des chiens dits dangereux qui n'en sont que le reflet, de telles choses peuvent-elles encore se produire dans notre pays, dans votre ville ? Par respect pour les êtres vivants, pour 80 % de vos citoyens contre la corrida, pour protéger les enfants que ces pratiques cruelles choquent,  je vous demande de mettre un terme à ces activités où la cruauté et la barbarie n'ont d'égale que la lâcheté. Ce n'est pas ainsi que nous répondrons à l'appel de notre Président d'éveil à la Conscience Universelle.

Je refuse, pour ces mêmes raisons, que l'argent prélevé sur mes impôts serve à financer les corridas et les écoles de "tueriemachie" pour enfants.
 
Non seulement l'homme abuse de son pouvoir sur les animaux mais il s'abrite derrière la notion de tradition. La corrida n'est pas une tradition française et il est vraiment regrettable que nous ayons emprunté à l'Espagne ce qu'elle avait de plus arriéré.  Fut un temps où les hommes mangeaient de l'homme ou arrachaient leur coeur à mains nues car c'était leur tradition. J'éviterai de venir dans votre ville ou de conseiller à des amis de s'y rendre tant que je n'aurai pas la garantie que ces spectacles barbares qui se déroulent sous votre responsabilité ont définitivement cessé. Avec l'expression de mon profond regret. 

Mme/mr., ville"