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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 07:26
http://www.animaletsociete.fr/groupe-n1


Le groupe « les statuts de l’animal » aborde notamment les questions juridiques et scientifiques concernant le respect de l’animal vivant et de sa protection contre la maltraitance.

Ce premier thème généraliste témoigne de la volonté de préciser les statuts juridiques de protection de tous les animaux qu’ils soient de compagnie, domestiques, sauvages ou utilisés en expérimentation. Ce premier thème doit permettre de rassembler l’ensemble des acteurs autour d’une réflexion commune visant à mieux prendre en compte que tout animal est un être sensible qui ne doit pas être utilisé par l’homme de façon abusive.

 

Président : Monsieur Jean-Louis ETIENNE, Médecin et explorateur français
Vice-président :
Monsieur Thierry TUOT, Conseiller d’Etat et rapporteur général du Grenelle de l’environnement."


VERS UNE COMMISSION NATIONALE DE LA VIE ANIMALE
http://www.animaletsociete.fr/contributions/gp1/Jacques%20SERVIERE%20-%20Vers%20une%20Commission%20Nationale%20de%20la%20vie%20animale.pdf

CONTRE UN CHANGEMENT DU STATUT  "BIEN MEUBLE" DE L'ANIMAL DANS LE CODE CIVIL   Jean-Pierre DIGARD, Directeur de Recherche Emérite CNRS.

http://www.animaletsociete.fr/contributions/gp1/Jean-Pierre%20DIGARD%20-%20Avis%20general%20s'opposant%20a%20la%20modification%20du%20regime%20juridique%20des%20animaux.pdf

Extrait :

"...Il importe par ailleurs de se demander quelle serait la signification et de la portée de l'inscription dans le code civil de la notion d'animal comme être sensible. Ou bien cette inscription constitut un geste symbolique, auquel cas elle n'a pas de nécessité. Ou bien il s'agit au contraire d'un acte lourd de conséquences, que les associations comme la Fondation Brigitte Bardot ou la Ligue des Droits de l'Animal tentent pour l'instant de dissimuler ou de minimiser mais dont elles ne manqueront pas, tôt ou tard, de se réclamer pour tenter d'imposer de nouvelles contraintes et limitations aux activités humaines d'élevage ou d'utilisation d'animaux à caractère économique ou de loisir. Il n'est pas crédible en effet que le changement juridique de l'animal tel qu'il est prôné par le rapport Antoine au Garde des Sceaux (mai 2005) soit l'extraction complète des animaux du Droit des Biens, soit leur inclusion dans une nouvelle catégorie de biens, non plus "biens meubles", mais "biens protégés" en leur qualité d' "êtres vivants et sensibles" - puisse n'affecter ni les dispositions d'autres codes en matière de protection animale, ni celles propres au monde agricole notamment..."

"...On ne peut que constater enfin que l'introduction de la notion d'animal contre être sensible dans le code civil
 ne répond à aucun "besoin", "évolution des moeurs" ou "demande des citoyens", motifs que brandissent volontiers les associations protectionnistes, mais qui se révèlent à l'examen purement imaginaires ou issues de sondages relevant plus de la communication que de l'investigation scientifique digne de ce nom. En définitive, la seule protection des animaux qui s'impose, car seule vitale à grande échelle et dans la longue durée, est celle concernant des populations animale, espèces ou races domestiques, dont la disparition, imminente dans bien des cas, causerait des dommages irréversibles à la biodiversité. Pour la protection des animaux en tant qu'individus éventuellement maltraités,  les dispositions existantes suffisent amplement. Pourquoi ne sont-elles pas appliquées ? Voilà une vraie question que l'on ferait mieux de se poser, au lieu de se gargariser d'incantations idéologiques stériles."
 
mon avis :
Déjà, devant les milliers d'animaux maltraités, martyrisés... il fallait oser le "SE GARGARISER D'INCANTATIONS IDEOLOGIQUES STERILES". Nous devons aller encore plus loin qu'une commission nationale. Mais quand on lit les arguments contre le changement de statut de l'animal "bien meuble" dans le Code Civil, il est facile de réaliser que les lobbies qui usent et abusent des animaux n'y ont aucun intérêt... Quant au thème commun : prendre en compte que tout animal est un être sensible qui ne doit pas être utilisé par l'homme de façon abusive... il reprend les termes de l'Europe mais sans en avoir les effets. Trop d'exemples inchangés de l'utilisation "abusive" de l'animal par l'homme, le premier exemple le plus honteux étant celui de la corrida qu'aucune exception culturelle, aucune exception traditionnelle ne peut justifier ! Quant aux élucubrations sur la légitimité du changement de statut, le concern principal évidemment c'est que cela n'ait pas de répercussion sur le monde agricole  !


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commentaires

V
Toujours les mêmes problêmes, les ahriculteurs, les chasseurs les cons Tant que ces gens là , ne changerons pas leur mentalité , rien ne chagera dans le staut de l'animal .bonne soirée
Répondre
U
<br /> Bien d'accord, vkarole !<br /> Tant que l'homme n'aura pas une éthique assez fermement implantée dans ses neurones et basée sur le respect du Vivant, rien ne changera nulle part globalement !<br /> <br /> <br />

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