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18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 04:11

Vina et Visca qui étaient au refuge SPA de Caubeyres, 47, ont été adoptées ensemble. Voici deux moments de Vina dans sa nouvelle vie, en attendant une vidéo de Visca devenue Harmonie.

Merci à tous ceux qui ont relayé l'info sur leur blog. Je ne dirai rien de l'état psy dans lequel était Vina lorsqu'elle est arrivée dans sa nouvelle famille.

Honte aux éleveurs capables de produire en grande quantité des animaux  en mauvais état physique et psychique, névrosés, traumatisés, ceci pendant des années sans jamais être vraiment inquiétés, même lorsqu'ils sont sous le coup d'arrêtés de suspension d'activité.

Après deux mois d'attention soutenue, Vina qui a dû tout réapprendre à partir de son arrivée au refuge, commence seulement à aller mieux...

Merci à Benoît, du refuge de Caubeyres, qui a permis aux pépettes, après les avoir bien soignées et après avoir commencé à les éduquer, d'être adoptées ensemble.













































Elles ne vous semblent pas inséparables ?

Vina et Rex commencent à jouer ensemble.

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 07:02

Les deux petiotes du refuge de Caubeyres qui venaient d'un élevage honteux ont pu être adoptées ensemble. Voici quelques nouvelles en images... Les deux podencos du refuge de Brax ont également été adoptés.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 05:19

N'ACHETEZ PLUS EN ANIMALERIE  POUR FAIRE TOMBER LES TRAFICS QUI SEVISSENT SUR TOUTE L'EUROPE.

4600 chiots importés de Slovaquie via l'Espagne pour être "blanchis" en France étaient francisés par des vétos véreux de Cannes pour être vendus dans une animalerie de Mandelieu. Cette sordide affaire avait été dénoncée par la SPA  par un reportage diffusé sur France 3 le 8 mai 2003. Le propriétaire de l'animalerie se fournissait en Espagne et dès leur arrivée en France les vétos vaccinaient et puçaient les chiots soi-disant produits en Espagne. L'importation de chiots de moins de 3 mois est interdite à moins qu'ils ne proviennent de l'élevage d'origine. Les vétérinaires concernés s'abritent derrière le fait qu'ils faisaient confiance aux certificats fournis par la direction des services vétérinaires espagnols.

Source : NICE MATIN 5 Novembre 2008

Le reportage de France 3 montrait un élevage slovaque où les chiennes étaient constamment engrossées, étaient tenues dans des enclos où elles ne mangeaient qu'une fois par semaine et mourraient d'épuisement très tôt. Le nombre compensait la forte mortalité.

Chaque fois que nous achetons en animalerie, nous nous rendons complices de cette possibilité de trafic. Nous pouvons écrire à nos députés pour demander l'interdiction de la vente d'animaux en animaleries et dans les journaux et un contrôle strict des éleveurs et des possesseurs d'an imaux.

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 05:15
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31 octobre 2008 5 31 /10 /octobre /2008 09:43

Jean-Claude LABORDE, président de Flac Aquitaine, membre de la FLAC, FEDERATION DES LUTTES ANTI CORRIDA, me prévient d'un THALASSA SCANDALE !

Manifestez-vous, SVP, auprès de THALASSA, sur leur site internet et au téléphone, faisons crouleur leur standard sous les appels : 08 90 71 03 03
Mon courrier de l'instant à M. Le Garrec, médiateur, à contacter par formulaire directement sur leur site :

http://relations.france3.fr/mediateurp_intro.htm#


Monsieur,
Révoltée, scandalisée, j'appelle au boycott de votre émission dans l'avenir. Que vient donc faire la torture de la corrida dans Thalassa ?
C'est une honte pour une émission de cette qualité de se laisser acheter par le monde tauromachique.
TAUROMACHIE EGALE TORTUROMACHIE !
La corrida n'est pas une tradition française. l'Europe est en train de se lever pour demander l'abolition des corridas et la France défend ce cancer, ce viol d'humanité. J'ai moi-même subi cette violence sur ma psyché !
Je suis présidente d'association, membre de la FLAC, FEDERATION DES LUTTES ANTICORRIDA,
membre du BULLFIGHTING FREE EUROPE MOUVEMENT qui organise sa 2nde exposition à Bruxelles, au Parlement Européen début 2009. Pourquoi au 21ème siècle devons-nous encore nous battre pour que cesse ce zoosadisme contraire à toutes les lois de protection de la vie et de l'animal ? Croyez-vous que nous règlerons les problèmes de violence dans notre pays en faisant l'apologie de ces monstruosités dignes d'une Humanité attardée ?
Avec mon profond regret et mon amère déception,
J.P.O.

http://www.unanimus.fr/declaration-droits-vie.htm  
Mouans-Sartoux, première ville de France amie des animaux et anticorrida
http://unanimus.over-blog.com/categorie-10124303.html  si vous voulez vous documenter une centaine d'articles sur la corrida et ses atrocités !
Participer à répandre cette plaie, quelle honte !

Reçu de J.Claude :   http://www.flac-aquitania.org/

Voici un texte que je viens d'envoyer à FR3 concernant l'émission Thalassa de ce soir qui parle d'Arles et des arènes et bien sûr de la corrida vue au travers œil du photographe taurin arlésien Lucien Clergue. Pourriez-vous faire de même en allant sur le site de FR3 et téléphoner au 0890 71 03 03 pour faire part de votre "courroux" ? Cette intervention est un peu tardive mais je n'ai appris qu'hier soir le sujet de émission Thalassa.
 
Cordialement.
 
JClaude Laborde
 
 Je suis un téléspectateur assidu de l'émission Thalassa, émission de qualité que j'apprécie. Aujourd'hui je suis surpris et déçu par le sujet traité qui n'a strictement rien à voir avec la mer. Les arènes d’Arles et la corrida vue à travers l’œil d'un photographe taurin au prétexte qu'il est arlésien et si je me réfère à l'annonce qui en est faite, cela va se traduire immanquablement et insidieusement à faire du prosélytisme pour ces « spectacles » que sont les corridas, que vous présentez d’ailleurs comme un art alors qu’il s’agit tout simplement d’une torture publique d’animaux. Présenteriez-vous les spectacles des gladiateurs qui s’y sont déroulés comme des spectacles artistiques ? La corrida n’est pas un combat loyal entre un homme et un animal, comme vous le présentez ou comme le présentent les amateurs (ou aficionados), mais c’est un combat truqué entre 6 hommes, professionnels de la torture animale, et un animal qui, lui, ne sait pas que le combat est truqué...  Une autre petite précision : la corrida est interdite au nord d’une ligne Bordeaux – Fréjus, où commettre des actes de cruauté sur des animaux est un délit et puni de 2 ans de prison et d’une amende de 30 000 euros, mais elle tolérée au sud de cette ligne parce que cette torture est pratiquée dans une arène et considérée comme une tradition. Comme vous le voyez il s’agit d’une loi scélérate et anticonstitutionnelle qui traite les citoyens du « Nord » différemment de ceux du « Sud ».

 

Encore une fois la « corrida » n’a rien à faire dans une émission comme Thalassa et je vous demande de donner le point de vue de l’immense majorité des citoyens d’Arles ou d’ailleurs qui veulent que soient partout interdits ces spectacles de mort tout comme l’ont été les jeux du cirque au IVe siècle.

J.C. L.
FLAC AQUITAINE


 
 
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31 octobre 2008 5 31 /10 /octobre /2008 07:53

La Pépette va bien et fait chaque jour des progrès. Voici quelques photos qui montrent que du petit animal terrorisé qui est arrivé lundi soir peu à peu elle retrouve confiance en l'humain et aux autres animaux. Je vous raconterai son histoire plus longuement.
Une Beauté effarouchée qui s'apprivoise petit à petit, grâce surtout aux autres animaux parmi qui, dès le lendemain de son arrivée, elle a été intégrée.



















arrivée lundi soir. Mardi matin, elle commence à relever le museau...


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 Mercredi, elle découvre le fauteuil de Myrrha.














échange de bon procédés, Myrrha teste le matelas de Carina. 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 ça se termine dans le panier de Loulou.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Jeudi, un saut chez Lucky qui a récupéré son panier. Bof, pas très galant, je crois qu'il n'a pas de thé à me proposer.

 

























Le gros rototo n'a pas l'air très intéressé. Faisons semblant de ne pas y toucher. Egypte, Egypte, le pays des pharaons aux lévriers, il faudra que je vienne me documenter !




























Jeudi, petite visite de bon voisinage à Vina. Inutile de vous déranger, ma Chère, je ne fais que passer !

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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 06:33

Bientôt un an qu'une lampe éclaire un coin de ma maison chaque nuit...
Munitis, le calvaire de l'incompétence que l'on t'a fait vivre ne sera pas oublié !

Où que tu sois, ici ou là, malgré les insultes que j'ai reçues pour avoir voulu t'aider et, pour t'aider, avoir dit la vérité, je continuerai de témoigner pour que toi aussi tu ne sois pas oublié...
Et qu'importe les diffamations qui continuent de tomber !


Pour retrouver un galgo en errance en France,
il faut d'abord avoir la volonté de le chercher,
ensuite il faut le chercher,
de suite, pas 6 mois après !

Quand on reçoit des milliers d'euros de dons et qu'on refuse de dépenser quelques dizaines d'euros en annonce presse pour un galgo qui erre depuis plusieurs mois, on n'est pas digne de faire du sauvetage de galgos ! Et dire que "on" a crié au scandale quand j'ai osé faire un appel à dons pour ce pauvre galgo sur Rescue pour une asso qui, elle, au moins, se bougeait !

Galgos en errance en France, la honte de la PA qui ne bouge pas !
http://unanimus.over-blog.com/categorie-10248718.html

Munitis, galgos en errance en France
Cessons de faire des appels à familles d'accueil et adoptants partout sur internet, banissons les sites d'annonces gratuites où n'importe qui se ballade...
Les GALGOS ne sont pas des marchandises à vendre au rabais !

Choisissons et formons les familles d'accueil et les adoptants sérieusement, les GALGOS sont des lévriers, ce ne sont pas des chiens à qui on peut dire "assis, debout, couché". Et quand ils sont bien chez leurs adoptants, par pitié, n'allons pas les leur voler !

http://vivette-blog-animal-passion.blogspot.com/

Une bonne nouvelle, RA va être rendu à Vivette...
mais la plainte est maintenue contre la personne qui a pénétré dans la maison pour voler ce galguito à son adoptante.

Pour MUNITIS, vous souhaitez nous aider, vous pouvez le faire en nous contactant par email
munitis@free.fr
et en faisant circuler l'affiche ci-dessous.
Deux mois d'annonce presse dans la Semaine de l'Allier sont réservées par le collectif de soutien à Munitis. Ce collectif, je précise, est indépendant de l'association, qui suppliée à de nombreuses reprises, a clairement refusé de s'investir enfin pour quelques dizaines d'euros dans cette recherche.











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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 06:59

Reçu d'Isabel, présidente de la FLAC    http://www.flac-anticorrida.org/  

Encore une fête des monstres à face humaine... Quand toute la journée à longueur d'année ce type d'atrocités inondent la vie des  défenseurs des animaux, comment ne pas penser à cette pensée reprise par toutes les grandes traditions spirituelles de l'Humanité : ne faites pas subir aux autres ce que vous n'aimeriez pas subir vous-même. Comment avons-nous pu exclure avec autant de bonne conscience religieuse "les autres" êtres vivants de cette planète ? Espagne... la jubilation de la souffrance animale ! Europe, la jubilation permissive du zoosadisme !


JUBILO veut dire en espagnol JOIE, allegresse ... Joie pour qui ??? Cette horreur aura lieu en Espagne en novembre à MEDINACELI  (près de Soria)
 
PACMA NOUS DEMANDE DE PARTICIPER A LA MANIFESTATION QUI AURA LIEU LA BAS LE 9 NOVEMBRE PROCHAIN (aller-retour à Barcelone le même jour)
 
Dans quelques jours, nous aurons les horaires et les prix des cars qui partiront de Barcelone (le plus proche de la France) et de Madrid. Nous pouvons faire un effort pour aider nos amis espagnols à en finir avec cette barbarie épouvantable, qu'ils se sentent soutenus par les citoyens civilisés que nous sommes.
 
En bas de cette terrifiante photo il y a un magnifique texte de l'écrivain espagnol JULIO ORTEGA FRAILE, une fois le CA de la FLAC terminé (il aura lieu le 25 octobre) j'aurais plus de temps pour vous le traduire, il exprime très bien cette épouvantable tradition QUI DOIT DISPARAITRE, ceci est inadmissible comme El Toro de la Vega ou el Toro de Coria, et le jour où les amis des animaux réussiront à faire supprimer une seule de ces "traditions" ce sera gagné les autres suivront. Il faut foncer pour que cela ne se reproduisse plus jamais.

Isabel
Aidez-nous, adhérez à la FLAC. Merci pour les taureaux !
 
En breve os daremos más detalles sobre precios y horarios, a fin de que podáis empezar a reservar plaza en el autocar. Os necesitamos.

Convoca: PACMA-Partido Antitaurino Contra el Maltrato Animal

http://www.pacma.es/




TORO JÚBILO DE MEDINACELI, PRÓXIMA CITA CON LA CRUELDAD

Cuando todavía no habrá terminado de descomponerse el cuerpo de Valentón, el toro “asesinado” legalmente en Tordesillas el pasado 16 de Septiembre, nos encontramos a poco más de un mes para que otro astado sea torturado y sacrificado también en nombre de un rito ancestral, también como parte indispensable de unos festejos populares que parecen no concebirse si no hay maltrato animal de por medio, también amparado por la parafernalia de una Organización, llámese Asociación de Amigos –menuda ironía: “amigos”- o Patronato, creada y mantenida para dar apariencia de cultura y legitimidad moral a otro acto cruel y salvaje, a una nueva muestra de la ignorancia falsamente maquillada de erudición, de la vergüenza al servicio de la diversión de unos seres rudos y violentos, de la tortura como práctica consentida y transmitida como si gozase de un valor pedagógico, social o ilustrativo.

 

El fin de semana del 14 de Noviembre se celebrará en Medinaceli (Soria) una nueva edición del llamado Toro Júbilo. Cambia el toro con respecto al mentado Alanceado de Tordesillas, las lanzas se sustituyen en esta ocasión por fuego pero lo que es inmutable, lo que no varía en ninguno de los casos, como tampoco lo hace en el del Toro de Coria y en otros ejemplos nauseabundos de castigo físico a los animales, es el público que disfruta con ello y aquellos que lo promueven y defienden. Porque en todas las ocasiones, sean tordesillanos, corianos, ocelitanos o de cualquier rincón de España, tienen un denominador común que lejos de diferenciarlos como personas los identifica como horda: su pasión por el sufrimiento ajeno y su incapacidad para comprender la bajeza de tales actos y admitir lo innecesario de los mismos.

 

Luego vendrán las susceptibilidades de los de siempre, los que prefieren enarbolar armas en vez de palabras y algunos dirán que estoy insultando a todo un Pueblo. No es así; ni todos sus vecinos son seguidores de estas costumbres repugnantes ni el nacer o criarse en esas localidades implica la participación o defensa de las mismas, aunque exista un miedo más que justificado a expresarse en contra entre los que allí viven. A quienes estoy calificando de seres violentos, brutales, feroces y con un profundo analfabetismo ético es a los que habiendo nacido donde sea o viviendo en donde se quiera, están a favor de la continuidad de estas tradiciones bárbaras y se oponen a su prohibición alegando razones que en ningún caso soportan el menor análisis realizado desde la razón, la inteligencia y la sensibilidad, tres cuestiones necesarias y exigibles sobre todo en conductas que afectan a terceros, pero que en estos casos son enterradas bajo la bestialidad, el primitivismo y el egoísmo, ahogadas en infinidad de alcohol, silenciadas con los gritos de la turba y linchadas junto con el toro que asiste “invitado” por sus “amigos” de la Asociación que lleva su nombre, como víctima forzosa de un espectáculo en el que padecerá y morirá sólo por satisfacer los más bajos instintos de esa caterva desquiciada.

 

Los “estudiosos” del asunto en su Página sobre el Toro Júbilo de Medinaceli nos hablan de que se trata de una “Ofrenda Jubilar, de pura tradición religiosa y simbólica…”. ¿Tiene la Iglesia algo que decir al respecto o con su silencio aprobará, como en otras tantas ocasiones, el crimen cometido también en su nombre?. Añaden en su verborrea valedora del festejo, que “el Toro es el dios que se inmola o es inmolado por el hombre. Tras ser sacrificado y comido transmitirá a quien lo ingiera todas las propiedades que a él se le atribuyen: poder sexual (fertilidad) , fuerza en los enfrentamientos y el ser invencibles…”. Si alguien se lee las razones con las que tratan de sustentar el Toro de Coria o el Toro de la Vega, verá como los argumentos sobre la necesidad del ritual son tan similares entre si como aberrantes en todos los casos. Siempre se entremezclan religión, ritos, ofrendas, sexo, virilidad, batallas y todo ello en una amalgama tan trasnochada como absurda, tan monstruosa como innecesaria, tan machista como dolorosa, tan reaccionaria como atroz.

 

Según la Asociación se nombra a un comisionado para que encuentre a un ejemplar basándose sobre todo en su fortaleza y alegría. Primer gesto de asombro, aquellos que juzgan al toro un ser irracional que no es merecedor de la menor consideración ni de un trato digno, “humanizan” su condición buscando un animal “dichoso y entusiasmado” , lástima que no extiendan la apreciación de su indudable capacidad para sentir al instante en el que comienza su suplicio. Después y siempre según esta siniestra hermandad, “los mozos inmovilizan al toro para evitar movimientos bruscos de la res… y así se coloca la almohadilla en la testuz, sobre ella una astilla de madera de unos 40 cms. y encima la gamella, que son unas astas de hierro sobre una plataforma del mismo material, provistas de unas crucetas. Al fin en los extremos de la gamella van colocadas las bolas, formadas a base estopa basta para que se origine una perfecta combustión, sujetando cada capa con alambre e impregnado con pez, resina y aguarrás puro…”.

 

Pero la realidad es la siguiente: los “valientes” participantes lo sacan tirando con gran violencia de una cuerda amarrada al animal y lo arrastran hasta un grueso palo clavado en el suelo, allí le atan fuertemente la cabeza, le sujetan las patas y le tiran del rabo para que no pueda moverse mientras le encajan la gamella a golpes. Es habitual que durante esta primera fase de la tortura el toro sufra hemorragias por la boca y la nariz, como atestiguan las imágenes obtenidas.

 

Volviendo al “inocente y casi edificante” relato de los hechos por parte de la Asociación, “se cubre pacientemente todo el cuerpo del animal con una capa de arcilla roja mezclada con agua, para evitar que los trozos de pez que se desprenden de las bolas le hieran…”. Esa es la ficción que algunos quieren convertir en dogma de fe, pero lo cierto es que prenden fuego a las bolas y el animal se convulsiona y muge aterrorizado por esas llamas fijadas a su cabeza; de ellas cae líquido al rojo vivo y trozos incandescentes de las bolas, provocándole quemaduras a pesar del supuesto “ungüento” preventivo de los organizadores, porque no cubre todas las zonas y muchas veces es traspasado por los rescoldos. Y por supuesto, la nariz, la boca y los ojos del animal no están protegidos, por lo que son partes afectadas por las quemaduras causando al toro un dolor espantoso.

 

La agonía del animal dura lo mismo que la algarabía y frenesí de los participantes, alrededor de una hora. Unos minutos que a ellos se les antojan cortos y que para el animal son una interminable sucesión de dolor, miedo, estrés, nerviosismo y huida imposible de aquello que le amenaza y provoca sufrimiento, el fuego que lleva unido a sus cuernos, una pesadilla real de la que no puede librarse y que le persigue a todos los rincones en su patética e inútil escapatoria.

 

Una vez terminada la canallada al toro, con las bolas apagadas y según los Amigos del Toro Júbilo: “se recoge al animal para que despojándole de lo que sirvió para el rito, se tranquilice y descanse…”. Y de nuevo la realidad: con la criatura exhausta, aterrorizada, quemada y dolorida, se pone fin a tal infamia sacrificándolo sin presencia de público; descanso sí, pero eterno.

 

Así finaliza el Toro Júbilo, con la última hora de vida del toro plagada de sufrimiento, con su muerte estúpida, felices unos pocos esperando la próxima edición, indignados y asqueados los más no comprendiendo cómo puede estar permitido algo tan dantesco. Y la historia se repite, con otro toro, en otro pueblo, en otra fecha, pero siempre lo mismo: una tradición sangrienta y violenta escudada en palabrería falaz y argumentos hediondos que podrían ser válidos para una sociedad embrutecida en su mayor parte hace muchos siglos pero que hoy sobrecoge y repugna que puedan tener alguna vigencia y convertirse en razón de ser para la sinrazón.

 

Una lista interminable de víctimas que engrosa el ya inmenso acervo de crueldades cometidas en nombre de la cultura, del interés turístico, de la tradición o de la diversión en nuestro País. Lo incomprensible es que ese inventario macabro sigue creciendo, que no llega la luz de la cordura a tan atávica legalidad y que tienen más valor las voces de los que hoy apoyan semejantes injusticias -dignos herederos de los que en su día decían que sí a las ejecuciones públicas- que las de aquellos que defienden el derecho de todos los seres vivos a no ser sometidos a un trato vejatorio, denigrante y agresivo con el inevitable resultado de su muerte, por parte de los que hacen gala de una de las actitudes más miserables que puede mostrar el hombre: ejercer la violencia sobre seres más débiles y que resulta aún más cobarde en tanto en cuanto es legítima.

 

Resulta que quien salta a una plaza de toros o quien sobrevuela con una avioneta una localidad en la que se está llevando a cabo una salvajada como esta denunciándola es encausado, juzgado y acaso condenado por su conducta, pero los que torturan y matan siguen ejerciendo esas actividades con toda la libertad y cobertura legal necesarias para planearlas, darles publicidad, efectuarlas y empezar a organizar una vez acabadas las del siguiente año. ¿En qué País vivimos?, ¿la crueldad es un bien protegido y la defensa de los más desamparados constituye una falta o un delito?. ¿Toda esta permisividad no atenta contra esos principios que supuestamente impregnan a nuestra Sociedad y que se nos anuncian como valores a respetar, fomentar y transmitir: igualdad, justicia, solidaridad, etc.?. No lo comprendo pero como no espero entenderlo jamás ni tampoco aspiro a convencer a aquellos que defienden el maltrato a los animales, sólo me queda la cabal esperanza de que algún día los que nos gobiernan tomen cartas en el asunto sin tanta tibieza ni lentitud como vienen demostrando hasta el momento y por supuesto, la reconfortante certeza de que el rechazo popular contra estas demostraciones salvajes es un hecho imparable y creciente.

 

Julio Ortega Fraile

http://www.findelmaltratoanimal.blogspot.com/

http://www.espana- liberal.com/ 20081006- toro-jubilo- de-medinaceli- -proxima- cita-con- la-crueldad. html

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19 octobre 2008 7 19 /10 /octobre /2008 07:02

Trouvé sur le Forum des Lévriers d'Ici et d'Ailleurs, ctte mise en garde qui nous confirme une fois encore que les lévriers sont une race à part., la race des Graïoïde, canidés mais pas chiens ! Chaque fois qu'à la place du mot "lévrier" nous employons le mot "chien", nous perpétuons une erreur de compréhension des spécificités de cette race, ce qui peut nuire à la qualité des soins qu'ils recevront...

http://levriersici-ailleurs.exprimetoi.net/sante-f37/anesthesie-generale-chez-les-levriers-danger-t1549.htm

Quels sont les agents d'induction de l'anesthésie? Comparaison de trois agents d'induction chez le lévrier?

 

par Isabelle Farly


Chez les lévriers, les thiobarbituriques ne peuvent pas être utilisés comme agents anesthésiques à action ultra courte car les périodes d'anesthésie et de réveil sont prolongées. Dans une étude, les lévriers nécessitaient entre 45 minutes et 8 heures pour se remettre de la dose de thiopental administrée. Les chiens croisés réussissent généralement à se lever et se déplacer entre 1 et 2 heures après administration... Il semblerait que les lévriers se réveillent d'une anesthésie aux thiobarbituriques en un lapse de temps semblable aux chiens croisés mais que ceux-ci restent plusieurs heures dans un état semi-comateux caractérisé par du pédalage, des débattements et des hurlements.


L'effet prolongé des thiobarbituriques a été attribué(1) au faible taux de gras corporel chez les lévriers. Ceux-ci possèdent 16% de leur poids corporel sous forme de gras, comparativement à 35% chez des chiens croisés de poids semblable. Les thiobarbituriques dépendent de leur relocalisation dans les tissus adipeux pour produire un effet de courte durée. Chez le lévrier, les concentrations sériques demeurent plus élevées pendant la période de réveil que chez les autres races de chien(2). De plus, il est suspecté que les lévriers métabolisent les thiobarbituriques moins rapidement au niveau du foie que les autres races de chien. Dans une étude, le temps d'élimination du thiopental chez des lévriers, suite à une induction des enzymes hépatiques par du phénobarbital, devenait comparable à celui des autres races. Jusqu'à ce jour, il a été démontré que les lévriers réagissaient différemment seulement aux thiobarbituriques et que les réponses anesthésiques aux oxybarbituriques restent semblables à celles des autres races. Une étude a démontré que le taux de protéines totales plasmatiques, nécessaires pour lier les barbituriques, était plus bas chez les lévriers.

Le propofol est considéré comme étant un agent d'induction et d'anesthésie sécuritaire chez les lévriers. Leur réveil est beaucoup plus rapide avec le propofol qu'avec les thiobarbituriques. Dans une étude faite à l'Université du Michigan par Dr Quandt, le propofol utilisé comme agent d'induction avait produit une apnée transitoire chez 5 des 10 lévriers, de l'hypoxémie transitoire, de la bradicardie simusale, de l'arythmie sinusale et de l'hypotension. L'induction s'était produite en douceur et le réveil était rapide et sans plainte. Dans cette même étude, le Dr Quandt a utilisé une combinaison acépromazine/kétamine/diazépam pour l'induction. De la tachycardie sinusale et une hypertension transitoire suivie d'hypotension ont été notées. L'induction et le réveil ont été satisfaisants mais les résultats obtenus avec le propofol ont été jugés supérieurs. Lors d'une comparaison entre les effets du diazépam/kétamine et du midazolam/kétamine comme agents d'induction chez les lévriers, la seule différence significative était le temps d'intubation qui était beaucoup plus court avec la combinaison midazolam/kétamine.

Lors d'anesthésie chez les lévriers, les protocoles permettant un réveil rapide et en douceur sont visés pour éviter les blessures au moment du réveil. Cette race de chien est prédisposée aux problèmes d'hypotension lors d'anesthésie. L'administration de fluides intraveineux lors de chirurgie est alors toujours recommandée. Les lévriers sont aussi prédisposés à l'hypothermie (faible taux de gras, poils très court, grande surface par rapport au poids) qui peut prolonger l'anesthésie et causer une dépression du système cardio-respiratoire.

Info reproduite de :
http://www.medvet.umontreal.ca/etudes/EnseignementLigne/anesthesio/FAQ_98/vavit/vavit1.htm

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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 06:31
Reçu de Salaron, bénévole du refuge et avec l'aimable autorisation du forum de l'Irish Wolfhound.

Vénus est une femelle Podenca de type Ibicenco.
Elle est issue du même élevage que Vina et Visca qui sont adoptées.


Vénus est née le 20/06/2004
Tatouage 2DZU415



Vénus est très sociable avec les enfants et elle s'entend bien avec les chiens. Elle est un peu effrayée par les gros chiens  genre St Bernard ou Montagne des Pyrénées.

Salaron, qui est bénévole au refuge de Brax, signale :

"Au niveau des chats on sait pas, elle ne dit rien quand elle passe devant les chatteries (mais ça ne veut rien dire). Ça fait deux mois qu'elle est arrivée au refuge SPA de Brax, dans le Lot-et-Garonne, avec une oreille nécrosée. Elle a été opérée de suite mais on ne savait pas si on allait lui sauver l'oreille. Fort heureusement, elle a pu être sauvée. Elle la redresse super bien, il y a juste la pointe qui retombe mais qu'importe ce n'est pas le plus important."

Vénus est vraiment très jolie et très bien proportionnée. Son caractère est enjoué et sociable.  Tous les adoptants de podencos sont enchantés par cette race de lévriers considérés comme primitifs, très proches du Tesem africain que l'on voit sur les bas-reliefs égyptiens. Elle a 4 ans et il semble qu'elle n'ait jamais connu un foyer et de vrais adoptants. Donnez-lui ce bonheur, elle vous le rendra au centuple ! Merci pour elle. La directrice du refuge tient à ce que Vénus reste dans le 47 ou les départements limitrophes, mais peut-être, en montrant vraiment patte blanche....

N'oublions pas qu'il y a aussi de nombreux autres animaux en attente d'adoption dans ce refuge, comme dans tous les refuges.



REFUGE DE BRAX
1 chemin Franchinet
47310 - BRAX
(+33) 05.53.96.77.97

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