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Date: Thu, 30 Sep 2010 06:55:08 +0000
Reçu de Cécile
Merci à Christiane qui relaie l'info.Je fais suivre car c'est très inquiétant...
Christiane
C’est quasiment fait. Nous allons voir disparaître les préparations à base de plante, ainsi que la possibilité pour les herboristes de les prescrire.
L’industrie pharmaceutique, qui depuis quelques décennies tente d’éliminer toute concurrence, a presque atteint son but. Le 1 avril 2011—dans moins de huit mois—pratiquement toutes les plantes médicinales seront illégales dans l’Union Européenne. L’approche adoptée aux Etats-Unis est un peu différente, mais a le même effet dévastateur. Les gens sont devenus des réceptacles pour toutes les cochonneries que l’industrie pharmaceutique et l’agrobusiness choisit de déposer, et nous n’avons d’autre choix que de payer le prix qu’ils demandent.
L’industrie pharmaceutique et l’agrobusinesss sont presque arrivés à contrôler chaque aspect de notre santé, depuis la nourriture que nous mangeons jusqu’à la façon dont nous nous soignons quand nous sommes malades. Soyez-en sûrs : cette prise de contrôle prendra tout ce qu’il reste de notre santé.
Dès le 1er avril prochain
Dans un des pires poisson d’avril de tous les temps, la directive européenne pour les produits à base de plantes médicinales traditionnelles (THMPD) a été décrétée le 31 mars 2004.(1) Elle réglemente l’usage des produits à base de plante qui étaient auparavant librement échangés.
Cette directive demande à ce que toutes les préparations à base de plante soit soumises au même type de procédure que les médicaments. Peu importe si une plante est d’un usage courant depuis des milliers d’années. Le coût de cette procédure, estimé à 90.000 à 140.000 euros par plante, est bien au-delà de ce que la plupart des fabricants peuvent payer, et chaque plante d’un composé doit être traitée séparément.
Peu importe si une plante utilisée depuis des milliers d’années est sans danger et efficace. Elle sera considérée comme un médicament. Bien sûr, les plantes sont loin d’être des médicaments. Ce sont des préparations faites à partir de sources biologiques. Elles ne sont pas nécessairement purifiées, car cela peut modifier leur nature et leur efficacité, comme pour tout aliment. C’est une distorsion de leur nature et de la nature de l’herboriste de les prendre pour des médicaments. Cela, bien sûr, ne compte pas pour le monde pharmaceutique européen contrôlé par Big Pharma, qui a gravé le corporatisme dans le marbre de sa constitution.
Le Dr. Robert Verkerk de l’Alliance for Natural Health, International (ANH) décrit le problème qui se pose si l’on demande à ce que les préparations à base de plantes répondent aux mêmes normes de conformité que les médicaments :
Faire passer un remède classique à base de plante provenant d’une culture médicale traditionnelle non-européenne au travers du système d’autorisation de mise sur le marché de l’UE s’apparente à faire passer une cheville carrée dans un trou rond. Le système de régulation ignore les traditions spécifiques et n’est donc pas adapté. Une adaptation est requise de toute urgence si la directive est discriminatoire à l’égard des cultures non-européennes et viole par conséquent les droits de l’homme.(2)
Droit commercial
Pour mieux comprendre comment cela peut se produire, il faut savoir que les lois du commerce ont été au centre des initiatives visant à mettre tous les aspects de l’alimentation et la médecine sous le contrôle de l’industrie pharmaceutique et de l’agrobusiness.
Si vous avez suivi ce qu’il s’est passé aux Etats-Unis concernant le lait cru et la Food and Drug Administration (FDA) qui déclare que les aliments se transforment par magie en médicaments quand on affirme qu’ils sont bons pour la santé, vous avez pu remarquer que la Federal Trade Commission (FTC) a pris part au processus.
Les aliments et les médecines traditionnelles sont considérés comme des questions commerciales plutôt que comme une question de droits de l’homme. Cela place les désirs des grandes corporations, plutôt que les besoins et désirs des gens, au centre des lois sur les aliments et plantes. C’est cette distorsion qui transparaît dans les déclarations outrageusement absurdes de la FDA, affirmant par exemple que les Cheerios (des céréales de petit-déjeuner) et les noix sont presque des médicaments simplement parce qu’on dit que c’est bon pour la santé.
Le but de tout cela est de sécuriser le monde pour le libre-échange des méga-corporations. Les besoins et la santé des gens ne rentrent tout simplement pas en considération.
Comment combattre cette intrusion sur notre santé et notre bien-être
Ce n’est pas chose faite, du moins, pas tout à fait. Si vous tenez aux plantes, et si vous vous souciez des vitamines et autres suppléments, agissez s’il vous plait. Même si ces questions vous semblent sans importance, pensez aux gens pour qui ça l’est. Doit-on leur interdire le droit au traitement médial et aux soins de santé de leur choix ?
L’ANH lutte activement contre ces intrusions. Ils vont actuellement devant les tribunaux pour tenter de stopper la mise en application de la THMPD. Nous ne pouvons qu’espérer qu’ils réussiront, mais l’histoire récente montre qu’aucune manœuvre légale ne peut s’opposer à ce rouleau compresseur. Nous ne pouvons pas nous asseoir et attendre les résultats de leurs efforts. Nous devons voir leurs efforts comme faisant partie d’un tout, dans lequel chacun de nous joue un rôle.
C’est à nous—à chacun d’entre nous—d’agir. Si vous vivez en Europe, envoyez s’il vous plait une lettre ou un message à votre Membre du Parlement Européen. Consultez cette page pour trouver qui c’est et comment le contacter. Puis, envoyez une lettre déclarant, en termes non équivoques, que vous soutenez fortement l’action de l’ANH pour stopper la mise en application de la THMPD et que vous espérez qu’ils vont aussi prendre position pour les droits des gens et choisir les remèdes médicinaux.
S’il vous est difficile d’écrire une telle lettre, cliquez ici pour un modèle (au format universel .rtf) suggéré par l’ANH. N’hésitez pas à l’utiliser. (Denice Delay a gentiment traduit cette lettre en espagnol. Merci !)
Imaginez-vous devant vos enfants ou petits-enfants vous demandant pourquoi vous ne l’avez pas fait. Comment allez-vous leur dire que leur bien-être ne vous intéressait pas ? Comment allez-vous leur dire que regarder la dernière émission de télé-réalité importait plus que de consacrer quelques instants à écrire une simple lettre ?
C’est seulement en luttant activement que cette farce contre notre bien-être peut être stoppée. Si nous restons dans l’apathie, alors ça arrivera. Notre droit à protéger notre santé et celle de nos enfants est sur la balance. Si vous vous souciez du bien-être de vos enfants et petits-enfants, vous devez agir. Exprimez-vous, car maintenant, c’est le moment de vérité. Vous pouvez rester assis et ne rien faire, ou vous pouvez vous exprimer.
Et après l’avoir fait, parlez-en à toutes les personnes que vous connaissez. Dites-leur qu’il est temps d’agir. Il n’y a vraiment pas de temps à perdre.
Sacarina a été récupérée grâce à la présence sur place de Roland, du refuge des Condemines de Sorgues.
Depuis le 28 Octobre 2008, elle vit chez moi. Arrivée animal sauvage, elle est devenue la plus facile à vivre des galgas, sauf qu'aucun inconnu ne l'approchera jamais...
Nouvelles au 2 Octobre 2008. Sacarina a été vue hier soir par une personne de Sorgues. Elle était sur le chemin d'ile d'oiselet vers 19 h 20, au moment où le soir tombait, en direction de Sorgues un peu avant le 2595 où elle a été vue le lundi 22 septembre dans la matinée. Les personnes qui habitent sur le chemin ont accepté de mettre des croquettes le soir. Depuis dix jours donc elle est restée dans ce coin. Npus leur avons demandé de surtout continuer à mettre des croquettes. La personne l'a vue courir devant la voiture un petit moment, puis traverser la route et partir dans les fourrés du côté du 2595. Elle a été prévenue par Monique de l'asso ADEO qui avait accepté jeudi dernier de placer des affiches et tourne beaucoup dans ce coin depuis. Régine est formelle, il s'agit bien de Sacarina, mais elle l'a trouvée très maigre... sans doute les parasites... depuis 4 mois...
Monique va voir avec le chenil qui est proche s'ils peuvent placer une cage trappe. Régine et son mari vont tourner ces jours-ci pour prévenir encore plus de personnes. Elle pense l'avoir vue un soir également près d'une propriété où il y a beaucoup d'animaux vers le lac de la Lionne, elle va retourner les voir.
Nous nous étions rendues avec Kathi jeudi dernier à Sorgues et Chateauneuf du pape où quelqu'un l'avait signalée chemin d'oiselet à Sorgues grâce à des affiches posées par Kathi chez le véto d'Orange. Puis à la suite des appels de Corinne du FDL, un monsieur habitant chemin d'île d'oiselet a dit l'avoir vu près de chez lui donc lundi de la semaine dernière. Beaucoup de gens maintenant sont sensiilisés dans ce quartier... Tous les espoirs sont permis grâce à la mobilisation de tous ceux qui ont parcipé... et au travail de proximité. Kathi a déjà parcouru 3000 km pour Sacarina... On croise les doigts !
reçu ce jour 23 Juillet ce message de Kathi, présidente de SOS Lévriers, ce qui , vu l'état de Sacarina, est déjà un miracle en soi : Bravo ! Cette galga est comme Munitis, inapprochable en l'état à moins d'être blessée ou immobilisée de force.
Bonjour, vous chères toutes,
voilà pour une bonne nouvelle:
Pour la première fois quelqu'un a vu Sacarina dans la nuit( 22 -08) vers 3 heures du matin vers Caderousse à 18 km ligne aérienne de Sarrians, le lieu de sa disparition, quand elle traversait une route devant lui: Il a pu la voir assez précisément pour la reconnaître sur une photo, mais il ne pouvait pas s'arrêter sur le coup, parce qu'il y avait un camion derrière lui et après elle avait déjà disparu! Donc elle se trouve à peu près entre le Rhône et Orange! Où va-t-elle se diriger maintenant, vers le nord ou le sud! Mme Charrasse va distribuer des affiches dans cette région et on doit continuer à espérer! Merci Mme Charrasse et aussi merci à Mme Guérrini pour les merveilleuses grandes affiches et d'avoir mis dernièrement tant de nouvelles affiches, même dans le Gard!
Bonne journée à vous toutes,
Kathi, SOS
Ce qui est un indice important est qu'elle est toujours dans la même zone. Tango, a dit ses sauveteurs, avait établi son territoire dans le voisinage d'un cours d'eau, sur quelque chose comme 70 km de long et 20 km de large. Il semble que nous soyons pour Sacarina dans la même configuration. Munitis aussi pendant un temps était sur 70 km (Moulins-Vichy) sur un axe nord-sud. Une petite expédition de chercheurs de galgos s'organise pour Sacarina. Isabelle, en y retournant, lui a porté chance ! Comme quoi, il ne faut jamais désespérer et refaire ce qui a déjà été fait, faire nouveau, ne pas arrêter...
Posté le 2 mai 2008. Sacarina, la jolie galga de , SOS Lévriers arrivée il y a quelques jours à Sarrians, Vaucluse, dans la FA qui voulait l'adopter vient de s'enfuir par manque d'attention de personnes qui ne l'avaient pas bien sécurisée. La fuite est due à un collier qui s'est détendu (peut-être un collier étrangleur espagnol qui se relache lorsque l'animal vient vers le maître, mais si l'animal est stressé et ne tire pas pour le resserer, lui laisse le temps de passer la tête dehors et de s'échapper...).
Elle s'est enfuie aux alentours de Sarrians (direction Jonquières, route d'Orange).
Numéro de puce : 941 000 002 631 478
Les vortex sont en nous, mis en action à chacune de nos inspirations et de nos expirations !
Nous pouvons commencer à nous servir en énergie libre pour nous-mêmes ...
Dr vétérinaire Hervé JANECEK
CYTOBIOTECH Sarl
Parc Euromédecine
912, rue de la Croix Verte - Bat. 3
34198 - MONTPELLIER cedex 5
FRANCE
Tél : 00 33 (0)4 67 67 02 42
Fax : 00 33 (0)4 67 84 31 36
courriel : hjanecek@cytobiotech.com
site web : http://www.dileka.eu & http://www.cytobiotech.com
Tout ce qui peut améliorer la vie sur notre Terre, c'est bon à savoir.
Amitiés,
Mario.
http://www.youtube.com/watch?v=NMiB2xsxaHY&feature=player_embedded
Reçu de Mic et Jacky, ASQUALI
asquali@club-internet.fr
Date: Wed, 29 Sep 2010 17:30:54 +0200
To: galgos-ethique-europe@live.fr
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La présidente du conseil d'administration de l'Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA) est aussi membre du conseil d'administration d'une association regroupant les plus grandes entreprises de l'agro-industrie. Telle est la révélation faite par José Bové, député européen (Europe Ecologie), lors d'une conférence de presse, à Bruxelles, mercredi 29 septembre.
Les documents présentés font apparaître que Diana Banati, la présidente du conseil d'administration de l'AESA, a dissimulé qu'elle appartenait aussi au conseil d'aministration d'ILSI Europe (International Life Science Institute), instance dans laquelle elle côtoie des représentants de dix grandes entreprises comme Kraft Foods, Nestlé ou Danone.
L'Agence joue le rôle d'expertise scientifique pour les décisions de la Commission européenne en matière de produits alimentaires, notamment les OGM (organismes génétiquement modifiés). L'Autorité n'a jamais émis un avis négatif sur plus de 100 OGM examinés.
DEMANDE DE DÉMISSION
De son côté, l'ILSI est une organisation internationale regroupant plus de 400 entreprises, dont Monsanto, Syngenta, Dupont, Nestlé et Kraft Foods. Dans les années 1980 et 1990, elle a ainsi relayé les efforts des fabricants de tabac pour affaiblir les initiatives de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) sur le tabac. A la suite à plusieurs enquêtes, l'OMS a d'ailleurs exclu l'ILSI, en janvier 2006, de la liste des organisations pouvant participer à ses activités.
M. Bové demande la démission de Mme Banati. "L'AESA n'a pas d'autonomie, elle est inféodée aux lobbies, juge le député, qui est également vice-président de la commission agriculture du Parlement européen. Son mode de fonctionnement doit être revu de fond en comble."
Mme Banati a fait modifier, le 28 septembre, les mentions de sa déclaration d'intérêt, telle qu'on peut la consulter sur le site Internet de l'AESA : elle y fait soudainement apparaître son appartenance au bureau des directeurs de l'ILSI.