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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 01:01

Animaux gazés au Canada...

 

Un employé de fourrière s'engraisse en ramassant des animaux errants, en les sélectionnant et en revendant les plus jeunes et les plus beaux après avoir gazé les malades et les " plus agressifs " mettant en pratique le dicton : "quand on ne veut plus d'un chien on dit qu'il a la rage".

 

L'employé est devenu le patron unique et maître tout puissant de la fourrière et se rengorge de ses méthodes. Il investit la coquette somme de 80000  dollars en 4 ans, signe que dans ce petit commerce indigne tout baigne !

extrait de :

http://www.courrierdusaguenay.com/Actualites/2011-11-25/article-2815181/Fourriere-Inter-Municipale-de-Saguenay%3a-Le-refuge-des-animaux-ameliore/1

 

Adoption vs euthanasie

«90 % des chiens que nous recueillons sont adoptés au cours des semaines suivant leur arrivée. Souvent, ce sont des chiens perdus qui ont été retrouvés par des citoyens. Les chiens que nous devons euthanasier, nous le faisons parce qu’ils sont agressifs et dangereux» dit Marc Villeneuve.

En ce qui concerne les chats, environ la moitié des animaux sont adoptés. Malheureusement, comme il est difficile de freiner la surpopulation des chats, on en retrouve beaucoup en adoption et ce, surtout au printemps. C’est pourquoi, il est important de faire stériliser son animal. «Ce n’est plus comme avant! Il y a quelques années, les animaux se faisaient endormir après seulement quelques semaines passées au refuge» dit-il.La fourrière Inter-Municipale de Saguenay est une entreprise privée régit par les lois municipales de la ville de Saguenay. Photo: Mariane St-Gelais-Labrecque

Le propriétaire procède encore par inhalation de gaz pour l’euthanasie de ses animaux car il n’est pas autorisé à le faire par injection. «Ça fait 40 ans que c’est comme ça! Si nous pouvions changer nos méthodes, nous le ferions» conclut-il.

Le refuge accueille les chiens et les chats perdus et abandonnés dans le but d’en faire la vente. Il peut en faire la cueillette à la maison sur appels ou les recevoir à l’établissement. Il s’occupe du ramassage de petits animaux sauvages morts ou vivants sur le territoire de la Ville de Saguenay, mais n’est pas autorisé à le faire pour les gros animaux tels que l’orignal. Il offre aussi un service de garderie intérieur et extérieur ainsi que le service d’euthanasie.

 

REAGISSEZ SVP. Merci.

 

http://www.courrierdusaguenay.com/Actualites/2011-11-25/article-2815181/Fourriere-Inter-Municipale-de-Saguenay%3a-Le-refuge-des-animaux-ameliore/1

Ville de SAGUENAY

http://www.annuaire-mairie.fr/ville-saguenay.html

 

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« Tout ce que les nazis ont fait aux Juifs, nous le faisons aux animaux. Nos petits-enfants nous demanderont un jour : « où étiez-vous pendant cet holocauste-là ?  Qu’avez-vous fait contre ces horribles crimes ?» Nous ne pourrons plus alors donner la même excuse une seconde fois, que nous ne savions pas. »
Helmut F. Kaplan


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S.V.P ÉCRIVEZ AU MAIRE POUR LUI DEMANDER DE BANNIR LA CHAMBRE À GAZ COMME MÉTHODE D'EUTHANASIE
Formulaire pour écrire au maire:
Copier-coller la lettre suivante
MODÈLE DE LETTRE



Objet: Non à l'utilisation de la chambre à gaz comme méthote d'euthanasie sur votre territoire
 
Monsieur le maire,
Nous avons été choqués d'apprendre que la Fourrière Inter-Municipale de Saguenay utilise encore la chambre à gaz(1) comme méthode d'euthanasie, et ce depuis 40 ans. Nous vous demandons de bannir sur votre territoire cette méthode archaïque, dépassée et cruelle comme moyen d'élimination des animaux domestiques. Si l'euthanasie est la seule option pour un animal, elle devrait être faite par un vétérinaire par intraveineuse, ce qui offre à l'animal une mort indolore et paisible.
Selon les experts(2), il est toujours inacceptable d’utiliser le CO ( chambre à gaz ) pour l’euthanasie des animaux qui sont : âgés, en dessous de 4 mois, malades ou blessés ou en gestation: ces animaux ne meurent pas toujours dans les chambres à gaz. Des enquêtes ont démontré que des employés ont admis avoir eu à briser la nuque des chatons et des chiots avec des pelles quand ceux-ci ne mouraient pas par le monoxyde de carbone, ou encore les noyaient dans des seaux d’eau, ou encore les frappaient contre les murs ou les battaient à mort.
Le gazage des animaux cause une souffrance inutile et il en résulte une mort inhumaine: il faut parfois 20 minutes avant de mourir. L’euthanasie par injection est la seule méthode la plus humaine pour l’euthanasie des animaux. En quelques secondes l’injection procure une perte de conscience rapide et sans douleur suivie d’une mort clinique en quelques minutes.
De plus, une étude américaine(3) en 2009 a démontré que l’injection est moins dispendieuse pour les contribuables: en effet, l’étude démontre que le coût de l’usage du monoxyde de carbone est de 4.98$ par animal. Le coût de l’usage du monoxyde de carbone (sans tranquillisant) est de 4.66 par animal. Cependant, le coût de l’usage de l’injection était seulement de 2.29 par animal.
Une société qui se dit civilisée ne se débarrasse pas de ces animaux de compagnie, en les exécutant par gazage!(4) Nous vous prions de faire preuve de compassion pour les animaux, et d'exiger dans les plus brefs délais la cessation de la chambre à gaz à la fourrière intermunicipale de Saguenay.

 

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 20:02

De ces moments qui laissent sans voix !

On aimerait tant savoir que nous n'avons plus besoin de zoos sur cette Terre car ces merveilleux animaux méritent autant de respect que les Humains car ils ont autant de coeur que notre race, peut-être même plus !

 

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 05:24

Après la première série de soins prise en charge par les cliqueurs au grand coeur d'ACTUANIMAUX, après être sortie de la clinique, Nana est de nouveau en soins intensifs pour ce terrible "moquillo", maladie de Carré qui est souvent mortelle si elle n'est pas prise au tout premier stade et sur des jeunes chiens au système immunitaire fragile.

LN nous donne les nouvelles les plus récentes, elles ont été reçues hier soir.

 

Nous avons lancé un appel à dons pour financer cette deuxième tranche de soins intensifs qui s'élève à plus de 2000 euros.

http://galgos-ethique-europe.over-blog.org/article-nana-son-autre-combat-s-appelle-moquillo-101892539.html


Tout don, même le plus minime, est le bienvenu et sera publié, comme à l'accoutumée, sur la page ci-dessus. L'attestation bancaire de virement du don intégral sera également publiée. Merci pour elle.

 

 
nana6.jpgMalheureusement les faits sont confirmés maintenant, il s'agit bien de la maladie de Carré (moquillo) que Nana incubait déjà au moment de sa première hospitalisation.
Inutile de vous dire que compte tenu de la grosse anémie et septicémie dont elle souffrait il y a encore quelques jours, la situation est grave car Nana n'a absolument pas de défenses immunitaires pour faire face à cette redoutable maladie.
On reste malgré tout confiant car plus d'un galgo nous a démontré sa force de récupération.
Elle est, entre autre, sous traitement interféron oméga en intraveineuse, un traitement très lourd financièrement.
La diarrhée s'est arrêtée et les ganglions semblent moins enflammés. Elle pèse à l'heure actuelle 15.200kgs
Bien sûr elle reste sous observation à la clinique
Deux photos actuelles de Nana.

nana7.jpg

Nouvelles d'hier soir

Bonsoir,
Pour tous les cliqueurs d'Actuanimaux qui attendent fébrilement des nouvelles de Nana: les dernières nouvelles données par Fatima elle-même, vétérinaire à la clinique Bellavista.
Nana étonne tout le monde à la clinique car malgré tout ce que peut supposer de souffrance la maladie de Carré, Nana reste une galguita qui montre une envie de vivre qui nous permet de rester optimiste.
La maladie de Carré est un virus qui dans sa phase initiale provoque une hyperthermie, des diarrhées, des vomissements et des problème respiratoires. Si le système immunitaire (Nana a très peu de défenses immunitaires) n'est pas capable d'arrêter le virus, ce dernier peut accéder au système nerveux central du chien provoquant des encéphalites (mouvements non contrôlés, convulsions etc ...). Le traitement à l'interféron (très couteux) est plus efficace au départ de la maladie mais tout va dépendre maintenant de la résistance de Nana à savoir ses défenses à aller contre le virus. Pour l'instant il n'y a aucun signe d'atteinte du système nerveux. Il ne nous reste plus qu'à espérer sachant que certains patients arrivent à surmonter la maladie et ce même après atteinte du système nerveux et d'autres qui n'ont pas la force d'atteindre cette étape de la maladie.
Les globules blancs sont remontés ce qui est bon signe car la maladie détruit la moelle osseuse et donc les globules blancs. Nana répond bien au traitement mais, attention, les virus sont très traitres et la vigilance est de rigueur
 
Fatima donne des nouvelles de Nana sur le facebook de la clinique dans laquelle elle travaille:
 
Cordialement
Marie-Hélène Verdier/LN Verdier
Trésorière y co-fondatrice de GEE
http://www.galgos-ethique-europe.eu/index.php
http://galgos-ethique-europe.over-blog.org/
http://agir-pour-les-galgos.over-blog.com/
-----------
Contact :
galgos-ethique-europe@orange.fr
-----------
Boutique solidaire GEE
http://www.la-malle-aux-galgos.com/
 
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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 08:28

Idem pour les podis

 

PODENCOS A L'ADOPTION

 

adopter-un-podenco-galgos-ethique-europeCliquer sur la bannière ci-dessus

pour voir les podencos à l'adoption.

 

Ces lévriers dits primitifs le sont moins que l'homme qui les torturent...

Comme les Galgos, ils attendent de nous un sursaut d'humanité !

 

Sky 6La petite Sky, adoptée en France.

  Ne rêvons plus leur vie,
ce sont de joyeux et fidèles compagnons.

Ils méritent aussi amour et respect.

 

podenco-scooby-300-galgos-ethique-europe-5ans-de-galere

Scooby, 4 ans de galère...

Encore en refuge.

 

Recevoir par email le formulaire d'adoption 

 

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 07:43

Lien direct sur le blog de notre association vers les pages des loulous que nous mettons à l'adoption.

 

GALGOS A L'ADOPTION

 

ADOPTER-UN-GALGO2.jpg 

Cliquer sur la bannière ci-dessus

pour voir les Galgos à l'adoption.

 

Ils sont légion à espérer l’éveil de l’Humanité qui mettra fin au supplice que 60.000 d’entre eux vivent chaque année.

Nous vous proposons d'adopter ceux qui ont subi les pires tortures, les pires mépris.

Ils viennent souvent des refuges les plus démunis.

    COPI-galgos-ethique-europe-240

Ne rêvons plus leur vie,
offrons-leur une vie rêvée !

 

Recevoir par email le formulaire d'adoption 

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 07:32

Le Professeur Hubert MONTAGNER réagit au communiqué éthiquement insupportable publié le 11 Février 2012 par André VIARD, président de l’Observatoire National des Cultures Taurines (ONCT) sur le site internet du dit observatoire national.

 

Je vous rappelle la pétition qu'il a lancée contre la présence des enfants aux corridas.

http://unanimus.over-blog.com/article-petiton-du-professeur-montagner-contre-les-enfants-aux-corridas-98133892.html
 A SIGNER ET DIFFUSER LARGEMENT SVP. MERCI. Lorsque vous préparerez votre bulletin de vote SVP pensez à la lâcheté de tous les politiques qui n'ont jamais pris parti en laissant des légions d'enfants depuis plusieurs décennies assister à ces atrocités sans aucun suivi psy.

 

 

Hubert MONTAGNER, docteur ès-Sciences
Professeur des Universités en retraite
ancien Directeur de Recherche à l’INSERM
ancien Directeur de l’Unité “Enfance inadaptée” de l’INSERM

Ayant pris connaissance du communiqué publié le 11 février 2012 par l’Observatoire National des Cultures Taurines, je tiens à exprimer ma stupéfaction, mon indignation et mon dégoût devant les inexactitudes, mensonges, rodomontades, impostures et mystifications qu’il présente comme des évidences ou des réalités. Les collègues pédopsychiatres de FRANCE et de l’étranger auxquels j’ai transmis ce texte partagent mon “sentiment”, ou sont encore plus sévères. Je crois reconnaître son auteur à travers ce qu’il a écrit par ailleurs (je crains que sa position dans les milieux de la pédopsychiatrie et de la psychiatrie devienne très difficile, voire intenable).
1. tout d’abord, ce communiqué oppose “des associations animalistes” qui mettent en avant le “danger supposée de la corrida pour les enfants” à “150 psychiatres, pédo-psychiatres et professeurs d’université” qui appellent à considérer le problème de la violence sous un angle objectif et non partisan”. Il s’agit bien évidemment d’une tromperie et d’une manipulation. En effet, il n’y a pas que des associations dites “animalistes” qui dénoncent l’aspect nocif du “spectacle” sanglant de la corrida, notamment pour les enfants et les adolescents, mais aussi des universitaires, des chercheurs, des médecins, des ingénieurs, des responsables politiques... indépendants. Je m’interroge sur le nombre réel de Professeurs d’Université qui auraient donné leur accord pour signer un texte de soutien à la corrida. Une telle prise de position est tellement éloignée de la déontologie et de l’éthique ordinaires d’un universitaire que, si ces signataires existent vraiment, ils doivent s’expliquer ouvertement et publiquement devant leurs pairs, en tout cas s’ils sont psychiatres ou pédopsychiatres. Mais, j’en doute, en tout cas si je me fonde sur la liste fantaisiste et fausse des signataires. Une telle prise de position est également éloignée de l’éthique et de la déontologie des associations et organisations humanistes et/ou humanitaires qui consacrent leur temps, leur énergie et leurs compétences à prévenir et soulager les souffrances humaines (les souffrances animales pour certaines associations et certaines organisations). Je n’en connais pas une seule qui soit peu ou prou favorable à la corrida espagnole qui consiste, il faut le rappeler ici, en la mise à mort d’un taureau (“toro”) sous l’estocade plus ou moins “réussie” ou “massacrée” portée par un toréador (matador) après que l’animal a subi des blessures causées par les banderilles des picadors, c’est-à-dire la torture. Comment une association ou une organisation humaniste et/ou humanitaire pourrait accepter un tel “spectacle”, “même si” la victime “n’est qu’un” taureau ? Comment pourraient-elles accepter le maintien des écoles de tauromachie 0ù on apprend à des enfants à se préparer à tuer, à obtenir l’autorisation de tuer et/ou à l’idée de tuer ? J’observe avec effroi que, dans un récent “poème imaginaire” adressé à sa petite fille, un psychiatre de TOULOUSE, partisan du “spectacle” sanglant de la corrida (on peut penser qu’il est l’auteur du communiqué du 11 février 2012), fait preuve d’un cynisme stupéfiant qu’on n’imagine pas chez un spécialiste des maladies mentales, quand il écrit : “Oui au fond, je sais bien que ton coeur saigne devant la souffrance du toro. Comme le mien peste et compatit devant une mort qui tarde à venir”... On serait tenté d’ajouter “mais, qu’est-ce que le toro attend pour mourir ? Cela n’est pas convenable qu’il me fasse languir”. Que dire de sa comparaison indécente entre la fin de vie d’un taureau exécuté dans une arène et celle d’un humain “Cinq ans d’une vie douce et paisible où le seul risque de danger est représenté par l’agressivité de ses congénères”. ”Cinq ans de farniente  et vingt minutes de souffrance à la fin de sa vie.... si l’homme avait le même rapport que le toro, il ne devrait souffrir que cinq minutes et demie dans sa vie” ?
On peut noter que le terme “animaliste” ne figure pas dans le Petit Larousse, dictionnaire reconnu de la langue française, à portée de tous les lecteurs français et étrangers. Au plan linguistique, c’est un barbarisme. Sachant que le mot phonétiquement le plus proche est animalisé (“Rendre animal, rabaisser à l’état d’animal”), on peut penser que le “label” “animaliste” n’est pas innocent, mais utilisé pour discréditer le monde qui s’occupe “normalement” des animaux ?

2. Le violence étant définie par Le Petit LAROUSSE comme “Caractère de ce qui se manifeste, se produit ou produit ses effets avec une force intense, extrême, brutale”, comment peut-on affirmer que “la vraie violence est celle des fictions 0ù la barrière éclate entre réel et virtuel au point d’alimenter la série noire des agressions sauvages”. Autrement dit, c’est l’éclatement entre le réel et le virtuel qui alimenterait « la vraie violence ». Où sont les recherches fondamentales et les études cliniques qui permettent une affirmation aussi fantaisiste, caricaturale, lapidaire, simpliste... et dépourvue de sens ? Au nom de qui et au nom de quoi peut-on affirmer que la “vraie violence est trop souvent intrafamiliale, c’est celle du vide affectif, de l’abandon meurtifère” (encore un barbarisme !) “du rejet ou du remaniement qui tuent en silence dans un quotidien banalisé” ? C’est non seulement farfelu, mais aussi stigmatisant pour les familles, lapidaire, arbitraire et simpliste. La violence et ses causes présumées, supposées ou réelles ne sont pas “seulement” intrafamiliales, ou d’origine familiale. Elles peuvent aussi être scolaires, sociales, culturelles, politiques, économiques... Que dire de “... qui tuent en silence dans un quotidien banalisé” ? Il est évident que la violence peut être hurlée, en tout cas insupportable à entendre quand elle envahit notre univers sonore. Que faut-il entendre par “agressions sauvages” alors que tout le monde connaît des “agressions codifiées” ou même institutionnelles. Je renvoie l’auteur ou les auteurs du communiqué du 11 février 2012 aux publications et livres nationaux et internationaux sur la sécurité affective et l’insécurité affective de l’enfant, en particulier celles et ceux que, en tout humilité, j’ai eu l’honneur d’écrire.
Je suis sidéré quand je lis que “La différence pour la corrida, c’est que si elle est violence apparente, elle est avant tout passion dans le message véhiculé”. Comment peut-on parler de “violence apparente” quand l’enfant et l’adolescent dans l’arène sont les spectateurs d’une réalité concrète et crue, visible et audible par tous, c’est-à-dire la torture, l’agonie, la mort du taureau dans un bain de sang ? Que signifie “violence apparente”, assénée sans la moindre preuve scientifique ou clinique ? Pour les chercheurs, vétérinaires, éducateurs et pédopsychiatres sérieux et non enfermés dans leur(s) passion(s) et/ou leur idéologie, la corrida est une vraie violence. Si on se fonde sur les études et recherches dont l’objectif a été et est la connaissance des phénomènes observés et/ou vécus, la vision et l’audition d’un animal qui souffre génèrent des manifestations de détresse et de désespoir, des peurs, blocages affectifs et inhibitions difficiles à résorber chez de nombreux enfants, en particulier ceux qui sont en souffrance. Les plus vulnérables sont inconsolables. C’est ce que montrent sans ambiguïté les travaux réalisés sur les interactions et relations des enfants avec les animaux dits domestiques, de compagnie ou familiers, mais aussi certains animaux sauvages (chevreuils, sangliers...), en ville comme à la campagne. L’inculture du ou des rédacteurs du communiqué est manifeste. Savent-ils qu’ils ne sont pas seuls au monde et qu’il y a une bibliographie ? Au fond, que lisent-ils ? En outre, comment peuvent-ils affirmer qu’un “enfant ne va jamais seul à la corrida”  ? C’est évidemment faux (un mensonge, une imposture et/ou une cécité faciles à constater par ceux qui ont assisté à une corrida!). Invité deux fois à un “spectacle” de corrida que je ne pouvais refuser, j’ai constaté que de nombreux enfants n’étaient pas accompagnés par un adulte, ni même de pairs (0ù étaient le ou les parents ?). Que dire du jargon délirant et affligeant “il y a de l’amour, main dans la main avec un adulte pour guide éclair. Il y a de l’amour d’un animal, pour l’admiration d’un homme, pour la convivialité d’un moment dans une ouverture existentielle affectueusement balisée par le parent qui l’accompagne, de valeurs à découvrir  et à partager. Il est précédé d’un imaginaire fantasmagorique (!) qu’il va chercher à apprivoiser”. Je me contente d’écrire que j’ai vu des enfants pleurer devant le(s) “spectacle(s)” de la pose des banderilles, des tentatives des animaux affolés pour échapper à la torture, du sang qui gicle et dégouline, de l’agonie et de la mort de l’animal. J’ai vu aussi des mère et des grands-mères qui pleuraient. J’en ai vu qui vomissaient, qu’ils fussent résidents de la région tauromachique ou qu’ils viennent en touristes de PARIS, d’ALSACE, du NORD...  Et cela n’était pas “la main dans la main”, chacun étant pris par le malaise ou la peine qu’il éprouvait, parfois la colère. D’ailleurs, il suffisait d’écouter ces personnes pour entendre qu’elles étaient dégoûtées, certaines révoltées. Est-ce cela qu’il faut entendre par “il y a de l’amour” ? L’auteur du communiqué cache mal la vraie raison pour laquelle il impose le “spectacle” de la corrida à son (ses) enfant(s) : la satisfaction de son égo, de son nombrilisme, de son égoïsme... (de sa “passion” ?)  en venant dans les arènes pour “l’admiration d’un homme”. Pourquoi ne précise-t-il pas clairement “les valeurs à découvrir et à partager” qu’il souligne ?
Que dire en lisant “La violence est un ingrédient incontournable et inéluctable” ? Un ingrédient, c’est-à-dire (voir le LAROUSSE) “un produit qui entre dans la composition d’un mélange”. Quel est le “produit” et quel est le “mélange” ? Inévitable et “inéluctable”, alors que tous les humains sensés et responsables essaient de canaliser, d’atténuer, d’éradiquer... les conduites considérées comme des violences et les situations, contextes ou environnements supposées être inducteurs ou facilitateurs de violences. Qu’en pensent les personnes agressées, violées, blessées, rendues invalides... quand elles peuvent encore penser ? Ont-elles le sentiment que la violence qu’elles ont subie était un “ingrédient incontournable et inéluctable”, autrement dit une fatalité de la vie ? (les morts sont, quant à eux, réduits au silence !) ? Que signifie “apprivoiser la violence” alors que la définition de “apprivoiser” selon le LAROUSSE est polysémique : “rendre un animal moins sauvage, domestiquer” ; “rendre une personne plus sociable, plus docile” ? Que signifie “Notre travail d’homme... est de tenter de sublimer cette image terrifiante de la mort”, c’est-à-dire, selon la définition de sublimer par le LAROUSSE “orienter une tendance, une passion vers une valeur sociale positive ou vers un intérêt moral” ? Le plus terrifiant peut-être, c’est le credo de l’auteur du communiqué : “notre rôle de parent, c’est d’aider nos enfants à conjurer leurs peurs et à désarmer la violence”. C’est une conception pour le moins simpliste, angélique, réductionniste, dogmatique... Fort heureusement, beaucoup de parents pensent d’abord à créer et développer des liens d’attachement sécure avec leur(s) enfant(s, et donc à partager avec eux de la tendresse et de l’amour (là, “il y a de l’amour” prend tout son sens), de les conforter dans la sécurité affective et ainsi de les rendre confiants en soi et dans autrui, de leur permettre de développer l’estime de soi, de leur apprendre à comprendre, apprendre, raisonner, faire de l’humour... de libérer leurs ressources affectives, sociales, humanistes cognitives et intellectuelles, et d’en acquérir de nouvelles, tout en évitant ce qui peut être anxiogène, angoissant, paralysant et destructeur. En d’autres termes, se développer comme des humains heureux de vivre et “prêts à conquérir le monde”. La caricature des contes de fée relève du café du commerce. Quel délire ! Par essence non codifié et non codifiable, l’imaginaire d’un enfant n’appartient qu’à lui-même, et non pas à sa mère ou son père.

3. L’auteur du communiqué reconnaît qu’il y a un “torrent d’hémoglobine” dans la corrida.  Mais, il le culot  de le qualifier de “schéma primaire”, c’est-à-dire, selon la définition du LAROUSSE, “simpliste et borné”. Les personnes qui s’opposent à la corrida apprécieront. Comment l’auteur du communiqué peut-il attribuer aux autres ce qu’il ressent, ou croit ressentir, notamment à ses enfants ? ... “d’hommages à nos racines”. De quelles racines s’agit-il ? Si je me fonde sur l’origine des peuplements de la FRANCE, ni les Gaulois, ni les Romains, ni les Grecs, ni les Celtes, ni les Vikings, ni les Anglo-saxons, ni les Germains, ni les Arabes... n’ont pratiqué la corrida. C’est seulement en ESPAGNE qu’elle est devenue une pratique... au XVIII ème siècle. Mais, l’ESPAGNE ne se confond pas avec la FRANCE. Pour quels rameaux faudrait-il avoir de la fierté et, par opposition, quels sont les rameaux dont ne devrions pas être fiers.  Quelle confusion ! La corrida serait “épanouissement personnel par une identification à un héro”. Quel abus de langage : selon le LAROUSSE, s’épanouir c’est “se développer dans toutes ses potentialités”. Mais alors, il faut inviter aux corridas les enfants qui ne parviennent pas à libérer leurs potentialités (enfants en échec scolaire, enfants autistes, enfants psychotiques...), et ceux qui ne peuvent s’épanouir faute de pouvoir ou vouloir s’identifier à un héro. Quand on affirme que la corrida est “proposition d’esthétique”, je me demande si la “perception du beau” est le sang qui coule, qui gicle...  à moins que cela soit l’agonie du taureau. Qu’en dirait nos grands écrivains, en particulier nos poètes qui savaient, eux, nous faire partager “une certaine beauté et la grâce”  (voir le LAROUSSE) ? Quand à “l’expression culturelle”, la corrida ne fait pas partie de la culture française... même pas dans les régions 0ù elle est pratiquée puisqu’une large majorité des citoyens résidents en demandent l’interdiction.

4. L’auteur du communiqué affirme que la corrida propose des “valeurs positives et structurantes” alors que le LAROUSSE définit ainsi une valeur : “ce par quoi on est digne d’estime sur le plan moral, intellectuel, physique...”. Je le mets au défi de dégager ce qui est “digne d’estime” dans le “spectacle” de la corrida. Je ne pense pas que la très grande majorité des Français, et au delà des humains, considèrent que la corrida propose des “valeurs” qui soient dignes d’estime. Qu’est-ce qui serait structurant si on se fonde sur les théories majeures du développement de l’enfant et de la construction du psychisme, en particulier par référence à la psychanalyse (FREUD doit se retourner dans sa tombe) ?

5. L’auteur du communiqué a l’outrecuidance d’affirmer “quant au traumatisme invoqué, ce n’est pas de la médecine, c’est de la littérature”.  “Simplement”, qu’est-ce qui relève de la médecine dans toutes les sornettes  qu’il pose comme autant de paroles d’évangile ou de paradigmes ? Serait-il la médecine incarnée” ? Dans ce cas, il faut vite radier l’immense majorité des médecins qui essaient de guérir le corps et/ou le mental des humains dont la souffrance est autre que dans le “spectacle” de la corrida. Ils seront sans doute ravis d’apprendre que le “traumatisme invoqué” dans le “spectacle” de la corrida... “c’est de la littérature”. L’auteur du communiqué est un étrange médecin, s’il est médecin ! Ayant consacré quarante ans à des recherches scientifiques sur le développement de l’enfant dans ses différentes composantes et dans ses différents lieux de vie, et ayant bénéficié de la collaboration précieuse de pédiatres et de pédopsychiatres, je suis sidéré d’apprendre que la “médecine du trauma, ou traumatisme psychique”, c’est de la littérature. Quel mépris pour les cliniciens !

6. Personne n’a demandé “l’interdiction des contes d’enfants”. Une nouvelle fois, l’imaginaire d’un enfant appartient à l’enfant... et à personne d’autre. De toute évidence, l’auteur du communiqué s’approprie la pensée des enfants et assène ses interprétations délirantes. Quel enfant peut vraiment comprendre ce que signifient “Cendrillon découche”, “Blanche-Neige vit en concubinage avec 7 mâles”, ou encore “Astérix se dope à la potion que lui fournit un dealer qui est le curé du village”. Une telle dérive est inacceptable. C’est un manque de respect pour les enfants... pour ceux qui leur racontent des contes captivants... et pour les écrivains. Faut-il forcément penser au sexe, à la drogue et aux crimes les plus effroyables... qui heurtent la sensibilité des enfants ? En outre, faut-il enfermer les contes dans des interprétations psychanalytiques de bazar ?

7. Pour terminer, comment peut-on asséner “chaque couple parental n’est-il pas à même de proposer à ses enfants les ouvertures culturelles auxquelles il adhère” ? La recherche fondamentale et les cliniciens sérieux ont largement montré que chaque enfant est une personne (voir, par exemple, Françoise DOLTO)... qui n’appartient à personne d’autre qu’à lui-même. L’auteur du communiqué n’est pas propriétaire de ses enfants. En outre, si cette personne était honnête, elle reconnaîtrait que, lorsque le milieu familial cumule les difficultés de tout ordre (pauvreté, misère, santé “délabrée”, alcoolisme, drogue, chômage, perspective du chômage, conflits au sein du couple parental, conflits au sein de la fratrie...), il ne peut pas ou ne sait pas pratiquer les mêmes “ouvertures culturelles” que lorsque ces questions ne se posent pas, ou alors avec peu d’acuité. De toute évidence, l’auteur du communiqué est un personnage hors du temps et des réalités, égoïstement replié sur ce qu’il croit être des valeurs, alors qu’elles ne sont que des prétextes égocentriques et égoïstes pour continuer à soutenir le “spectacle” sanglant de la corrida... et exister.

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 07:21

Velcro était tellement maltraité qu'il s'évanouissait sous les coups. Il a été sauvé par l'AJPLA de NICE qui lui cherche maintenant un bon adoptant. 

 

Velcro est de catégorie 2, ce qui implique le sens des responsabilités,  une assurance responsabilité civile et un permis de détention de chiens de catégorie 1 et 2. Son évaluation comportemantale a semble-t-il été faite par l'association en vue de son placement.

A quand l'évaluation rigoureuse des maîtres de chiens par un psy exigeant et clairvoyant ?

 

ALLEZ, 5 PETITS CLICS DE SOURIS POUR VELCRO SUR ACTUANIMAUX ! MERCI.

 

velcro-actuanimaux-mars-2012.jpg

 

http://actuanimaux.com/cause/velcro/

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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 07:38

à voir sur ARTE le mardi 27 mars :
 faut-il encore manger des animaux à 20h40
( + 21h40 + 22h25 + 22h45 sur le thème )

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 10:15

dr-dominique-dupagne-la-revanche-du-rameur.jpg

A l'attention des "Résistants" cette présentation du livre du Dr. Dupagne...

Extrait du site LA REVANCHE DU RAMEUR

Lire « La revanche du rameur », c’est découvrir les clés d’un univers qui nous semblait jusque là foncièrement injuste et incompréhensible. C’est, pour ceux qui résistent d’instinct, à leur niveau, sans savoir pourquoi la machine les broie, la possibilité de comprendre et déconstruire enfin le système qui les oppresse, et la perversité de ce système.

Vous n’êtes pas fous.
Vous n’êtes pas seuls.
Vous n’êtes pas paranoïaques.
Vous êtes réellement confrontés à un système absurde, obscène, inhumain.
Et vous avez, nous avons, les moyens de lui résister, de l’abattre.
Ca commence ici.

Christian Lehmann

 

En 5 mots
Comment résister au mal dominant.

 

En 10 lignes
Le monde est en crise, ses valeurs aussi. Tout ce qui touche à l’humain s’effrite face à une normalisation sclérosante, à l’aliénation par la Démarche Qualité, à la corruption, aux oligarchies toutes puissantes. Le Dr Dominique Dupagne dissèque les mécanismes intimes, biologiques et primatologiques de ce désastre. C’est aussi un spécialiste du web communautaire, et il voit dans ce nouvel outil communiquant une source d’espoir pour ceux qui s’indignent à juste titre. Nos gènes ne dictent pas nos actes, mais ils nous influencent beaucoup plus que nous le pensons. Seule une prise en compte lucide de notre héritage génétique nous permettra de passer ce cap difficile. Nous entrons dans une nouvelle ère où le silicium remplacera définitivement la pierre polie : après dix mille ans de civilisations aussi primitives qu’éphémères, il est temps de sortir du néolithique.

http://www.larevanchedurameur.com/

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 08:11

 

Tous orphelins, nos enfants nous accusent déjà…

  

Un futur sans avenir ou un avenir sans futur ?

Aujourd’hui ça va mal, demain ce sera pire. Mais “ils” disent que le pire n’est jamais certain… Vision innocente d’un futur décomposé…, pourtant, gouverner, c’était prévoir ! À nos escrocs psychopathes, l’humanité reconnaissante.

Alors, les parents des orphelins de demain peuvent toujours voter pour qui ils veulent, de toute façon leurs enfants n’hériteront de rien. Ou voire peut-être d’un cancer.

L’économie n’est pas à 100 % hors-sol. Alors, pourquoi parler de crise systémique alors qu’elle est aussi et surtout écosystémique ? Les gens à naître auront plus à souffrir qu’à choisir. Dès ce jour, les enfants n’ont donc aucune nécessité de préparer un avenir qui n’aura pas de futur. Orphelines du vivant et des ressources primordiales, les générations futures seront dans la dèche. Écoles et universités peuvent désormais rester portes closes, les éducateurs et professeurs sont de fait ridiculisés par les politiques.

Un ouvrage à lire pour avoir une perception très lucide des choses...:

Les Orphelins de Gaïa 

Michel Tarrier, 228 pages, Les Presses du Midi

  

michel-tarrier-les-orphelins-de-gaia.jpg

 

S’il est admis qu’un enfant doit préparer son avenir personnel et qu’il soit dirigé en ce sens, (éducation, scolarité, diplômes…), c’est un paradoxe ordinaire de constater que nos sociétés ne se soucient que trop peu de l’avenir commun. Nos enfants préparent donc un avenir… qui manque de futur.

Ce livre aborde l’écologie comme un thème universel, en qualité de cause majeure et d’enjeu primordial de notre humanité. Pourquoi ? Simplement parce que la Nature a toujours raison.

Ce nouvel opus de Michel Tarrier est aussi un manifeste d’écorésistance, laquelle a pour objectif de damer le pion au productivisme, notamment sous sa forme dangereusement masquée d’économie verte, verdie, reverdie, et ce, par des propositions radicales, lucides, indépendantes et pour la plupart dissidentes de l’écologisme électoral. L’écorésistance en appelle à Gaïa, à Pachamama, à la Terre-mère.

Une crise écologique se manifeste lorsque le milieu de vie d’une espèce ou d’une population évolue sur un mode défavorable à sa survie… Quand la moitié d’une humanité surnuméraire de 7 milliards d’âmes se rend volontairement malade par excès de nutrition, et que l’autre moitié souffre d’une malnutrition par défaut, on comprend bien que ça ne peut plus durer.

Bâtir sans détruire n’aura pas été un défi : déforestation, mort biologique des sols, désertification, sixième crise de la vie et extinction massive d´espèces, pollutions, réchauffement du climat, fonte des glaces, montée des océans, tarissement accéléré de toutes les ressources non renouvelables, nous entrons de plain-pied dans un monde à l´avenir barré. La Terre vue du ciel : bientôt un cimetière, une fosse commune. Notre humanité est en voie de se faire à elle-même le coup des dinosaures d’il y a 65 millions d’années. Ce que nous voyons encore aujourd’hui, nos enfants ne le verront pas demain. Ce déshéritement n’est-il pas le plus intolérable des crimes ?

Et s’il faut tourner la page, comment envisager un retour aux champs avec une perte incommensurable de fertilité, l’oubli des modes et coutumes d’antan et en sachant que nous avons commis l’imprudence d’atteindre un nombre de bouches que seule une agriculture intensive et dopée par la pétrochimie saurait nourrir ! Le pire a été commis pour que, telle une trappe, le cercle vicieux se referme sur nous.

« Merci de laisser la planète dans l’état où vous l’avez trouvée en entrant » : nous n’avions pas cru bon placarder cet avertissement sur notre belle Maison du Quaternaire.

Derrière la porte verte, il n’y a plus rien, juste un dernier battement d’aile. De quoi avoir mal à la Terre, vraiment.

Les Orphelins de Gaïa
Michel Tarrier, 228 pages, Les Presses du Midi

À commander chez votre libraire habituel, partout disponible en ligne, notamment et à meilleur prix chez Amazon :

 

http://www.amazon.fr/orphelins-Ga%C3%AFa-Tarrier-Michel/dp/281270313X

Ce nouveau manifeste pour un appel à l’écoconscience est dédié à Libertero, une voix unifiée, libre et indépendante pour la Terre : http://www.libertero.net

 

DU MÊME AUTEUR

Écologisme, écosophie :

2050, Sauve qui peut la Terre ! Éditions du Temps, 2007

Faire des enfants tue. Éloge de la dénatalité. Éditions du Temps, 2008

Nous, peuple dernier. Survivre sera bientôt un luxe. Éditions L’Harmattan, 2009

Dictature verte. Éditions Les Presses du Midi, 2010

Faire des enfants tue… la planète. Éditions LME, 2011

L’Agroterrorisme dans nos assiettes. Éditions LME, 2012

Écologie :

Les Papillons de jour du Maroc. Guide d’identification et de bio-indication (avec Jean Delacre).

Éditions Biotope & Publications scientifiques du Muséum, 2008

Un désert plein de vie. Carnets de voyages naturalistes au Maroc saharien (avec Michel

Aymerich). Éditions La Croisée des chemins. 2010

 

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